La banane du pêcheur

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La banane du pêcheur. (L'Odyssée d'Ulysse Gosset, tome IV). Roman de Homère Simpson (1910)

Des décors de rêve

L' action du quatrième tome de cette interminable et trépidante histoire se déroule, magie de la littérature, dans le Parc National de Port-Cros (Var, France).

Du mystère

Ulysse Gosset ouvre une échoppe de marabout dans la zone interlope du Parc. On estime que 500 plongeurs le consulte chaque année, le prix moyen d'une séance est de 20 €.

De l'argent qui coule à flot

Le commandant Paul-Emile Coustazieff lui révéle que la durée de vie du mérou est au moins de 20 ans, ce qui lui laisse espérer un gain de 500 x 20 x 20 = 200 000 € à la fin de son existence maritime..

Le commandant précise alors, dans la célèbre phrase qui a fait le succés du livre :

Il s'agit d'un rapport minimal, intégrant simplement le prix de la visite 
il faudrait y ajouter les retombées économiques indirectes,   hébergement,
restauration,
etc...

Des coups de théâtre

Ulysse Gosset réalise dans un éclair que s'il était pêché, il rapporterait, lui qui pèse 15 kg en moyenne et à 15€ le kg : 15 x 15 = 225 €, soit 1000 FOIS MOINS!!!.

Prédire l'avenir, c'est aussi connaitre le cours du poisson

L' Amour est plus fort que tout

Ulysse Gosset fait alors le choix de la vie et jure sur la banane du pêcheur qu'on ne l'y prendrait plus.

La vie s'avère être un immense trésor,vu les cours du poisson,
je jure sur la banane du pêcheur qu'on ne l'y prendrait plus.

Critique

Souvent considéré à tort comme un plagiat de Les Chiffres et les Lettres de Mon Moulin du Professeur Professeur et Armand Jammot, écrit 7 ans plus tôt, ce roman de vingt-cinq pages ravira tant les penseurs à moustache que les bibliothécaires. Ecrit façon Nathalie Quintane, ce petit bijou permet surtout de revivre l’ambiance des bordels du Parc National de Port-Cros, chose extrêmement rare, ceux-ci ayant coulés en 1973, au cours d'un ouragan thermo-nucléaire d'eaux salées. Les puristes et les insulaires reconnaîtront donc avec joie François Sassenpala, Jean-Paul, le fameux Douh, et la ferveur déjà bien présente à l’époque lors des spectacles des webmasters pour chaises. Quelques bonnes raisons parmi d’autres de (re)découvrir ce splendide hommage à un gros con tant décrié de nos jours.