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''"L'amitié de la badèche rouge insulaire" (ou "l'amitié de la badèche à peignes").Roman d' [[Homère Simpson]](''[[L'Odyssée d'Ulysse Gosset]], tome V, [[1925]].)
''"L'amitié de la badèche rouge insulaire" (ou "l'amitié de la badèche à peignes").Roman d' [[Homère Simpson]](''[[L'Odyssée d'Ulysse Gosset]], tome V, [[1925]].)


Plutôt complexe ce roman. Très certainement le roman de Homère Simpson le plus pensé, le mieux construit, le plus abouti, et écrit le plus gros( 3 lettres par page format A4).
Plutôt complexe ce roman. Très certainement le roman de Homère Simpson le plus pensé, le mieux construit, le plus abouti, et écrit le plus gros( [[3]] lettres par page format A[[4]]).


Construit de façon à ce que les pages tombent du livre quand on l'ouvre, il nous pose une question essentielle, touchant l'immobilité (bouge-je?) et une question subsidiaire sur la personnalité unique de chacun des gens, à savoir « Suis je protogyne? ».


La trame reste simple et son déroulement aussi, cela suppose néamoins qu'il faille se rappeler des lettres précédentes pour pouvoir apprécier le changement que le roman opère au niveau de la conscience.
== Construction, subsidiarité et immobilité ==
 
Construit de façon à ce que les pages tombent du livre quand on l'ouvre, il nous pose une question essentielle, touchant l'immobilité (bouge-je?) et une question subsidiaire sur la personnalité unique de chacun des [[gens]], à savoir « Suis je protogyne? ».
 
== Trame, précédence et conscience ==
 
La trame reste [[simple]] et son déroulement aussi, cela suppose néamoins qu'il faille se rappeler des lettres précédentes pour pouvoir apprécier le changement que le roman opère au niveau de la conscience.
 
== Souvenir, culpabilité et grotte sous-marine ==


Il s'agit donc de Brunehilde Gosset dévorant sa femme Gaston, et de son seul souvenir de cet acte résidant dans une arête, la preuve de sa culpabilité.
Il s'agit donc de Brunehilde Gosset dévorant sa femme Gaston, et de son seul souvenir de cet acte résidant dans une arête, la preuve de sa culpabilité.


Et le voilà, seul dans sa grotte sous-marine, parfaite image du mérou en marge de la société, sans issue possible, à part l'obésité et affronter la lipophobie de ces contemporains. Vient alors ce qui pourrait sembler un autre roman. En effet, le protagoniste est maintenant Antoine Hummel.
Et le voilà, seul dans sa grotte sous-marine, parfaite image du [[mérou]] [[en marge de la société]], sans issue possible, à part l'[[obèse|obésité]] et affronter la [[lipophobie]] de ces contemporains. Vient alors ce qui pourrait sembler un autre roman. En effet, le protagoniste est maintenant [[Antoine Hummel]].
 
== Antoine Hummel, assassin protogyne et rien à foutre ==


Qui est Antoine Hummel ?
Qui est Antoine Hummel ?


C'est justement en cela que se fonde le message du roman. Brunehilde Gosset est peut être un assassin protogyne, ou alors il avait faim, ou alors, il se trouve peut être en train de rêver, ou alors Antoine Hummel n'a rien à foutre là, ou alors...  
C'est justement en cela que se fonde le message du roman. Brunehilde Gosset est peut être un assassin protogyne, ou alors il avait faim, ou alors, il se trouve peut être en train de rêver, ou alors Antoine Hummel n'a rien à [[foutre]] là, ou alors...  


Rien de cela en fait si on relit du début sans se tromper.
Rien de cela en fait si on relit du début sans se tromper.


Une deuxième chance est alors accordée à Brunehilde Gosset. Il prend possession du corps de quelqu'un d'innocent, voir de simplet. Une sorte de miracle qui lui permet de vivre la vie d' Antoine Hummel. Mais Antoine Hummel ne se souvient pas de sa vie en tant que Brunehilde Gosset, elle est comme totalement occultée par son orgueil(Chapître 7: "qui? moi? un mérou?") et sa collaboration à Ardkorpédia. C'est ce en quoi réside le danger, une menace inéluctable et latente.
== "qui? moi? un mérou?" ==
 
Une deuxième chance est alors accordée à Brunehilde Gosset. Il prend possession du corps de quelqu'un d'innocent, voir de simplet. Une sorte de miracle qui lui permet de vivre la vie d' Antoine Hummel. Mais Antoine Hummel ne se souvient pas de sa vie en tant que Brunehilde Gosset, elle est comme totalement occultée par son orgueil(Chapître 7: "qui? moi? un mérou?") et sa collaboration à [[Ardkorpédia]]. C'est ce en quoi réside le danger, une menace inéluctable et latente.


Ce personnage rencontre un chinois, qui est dans le roman joué par Gaston, la femme de Brunehilde Gosset. Cet élément n'est en aucun cas anodin et sert ainsi à soutenir le fait que le personnage d'Antoine Hummel n'a vraiment aucun souvenir de sa vie antérieure et à embrouiller le lecteur.  
Ce personnage rencontre un [[chinois]], qui est dans le roman joué par Gaston, la femme de Brunehilde Gosset. Cet élément n'est en aucun cas anodin et sert ainsi à soutenir le fait que le personnage d'Antoine Hummel n'a vraiment aucun souvenir de sa [[vie]] antérieure et à embrouiller le lecteur.  


Cela confère aussi une image respectable au personnage du Pape, qui dans le roman est marié avec le chinois et cesse ainsi de mener la vie de patachon propre aux célibataires.
Cela confère aussi une image respectable au personnage du [[Pape]], qui dans le roman est marié avec le chinois et cesse ainsi de mener la vie de patachon propre aux célibataires.


Le danger annoncé surgit alors peu à peu, quand Antoine Hummel se met à perturber de  gestes imprudents de sa nageoire gauche, venant en tant que séquelles et qui nous permettent progressivement de comprendre que le développement sexuel de Brunehilde Gosset est de type hermaphrodite protogyne et que l'inversion sexuelle se fait sur les côtes tunisiennes, à partir de 9 ans, ce dont on se doutait.
== Paroxysme de l'inéluctabilité, effectifs de la population et échange d'immobilité ==
Le danger annoncé surgit alors peu à peu, quand Antoine Hummel se met à perturber de  gestes imprudents de sa nageoire gauche, venant en tant que séquelles et qui nous permettent progressivement de comprendre que le développement sexuel de Brunehilde Gosset est de type [[hermaphrodite]] protogyne et que l'inversion sexuelle se fait sur les côtes tunisiennes, à partir de [[9]] ans, ce dont on se doutait.


Paroxysme de l'inéluctabilité, Antoine Hummel redevient corporellement Brunehilde Gosset. La seule leçon qu'il puisse alors tirer, c'est de savoir que le mérou est une espèce à risque sur le plan des effectifs de population et qu'il n'y a pas d'intérêt à être protogyne dans la mesure où nos actes sont inhérents à notre personnalité, et ce, qu'on le veuille ou non.
Paroxysme de l'inéluctabilité, Antoine Hummel redevient corporellement Brunehilde Gosset. La seule leçon qu'il puisse alors tirer, c'est de savoir que le mérou est une espèce à risque sur le plan des effectifs de population et qu'il n'y a pas d'intérêt à être protogyne dans la mesure où nos actes sont inhérents à notre personnalité, et ce, qu'on le veuille ou non.


Le thème de l'échange d'immobilité avait déjà été abordé en littérature mais jamais de cette manière. En effet, les autres romans permettaient d'une certaine manière aux protagonistes de conserver en mémoire, à l'état latent, partiellement ou bien encore totalement leur ancienne immobilité. Ce qui fait de "l'amitié de la badèche rouge insulaire" (ou badèche à peigne) le roman étudiant le mieux la question.
== « mais qu'est ce que je perd mon temps à écrire ces conneries ? » ==


Un roman parfaitement maîtrisé florissant de nouveaux modes d'expression, présentant un réflexion directe sur le sens même d'être ce que nous sommes, qui aborde des notions insaisissable contenant des questions telles que « mais qu'est ce que je perd mon temps à écrire ces conneries », cette question constituant sans aucun doute un des mystères les plus occultes de la vie.
Un roman parfaitement maîtrisé florissant de nouveaux modes d'expression, présentant un réflexion directe sur le sens même d'être ce que nous sommes, qui aborde des notions insaisissable contenant des questions telles que « mais qu'est ce que je perd mon temps à écrire ces conneries ?», cette question constituant sans aucun doute un des mystères les plus occultes de la vie.


Une véritable tragédie grecque, présentant un protagoniste dont l'âme est condamné dès le début, s'attachant plus à la métaphysique qu'à la psychologie des poisson volant|poissons volants, malmenant notre compréhension en nous dirigeant dans un premier abord vers les mauvaises questions, des questions de lecteurs basiques telles que « pourquoi l'a t'il mangé ?».
Une véritable tragédie grecque, présentant un protagoniste dont l'âme est condamné dès le début, s'attachant plus à la métaphysique qu'à la psychologie des poisson volant|poissons volants, malmenant notre compréhension en nous dirigeant dans un premier abord vers les mauvaises questions, des questions de lecteurs basiques telles que « pourquoi l'a t'il mangé ?».
Le thème de l'échange d'immobilité avait déjà été abordé en littérature mais jamais de cette manière. En effet, les autres romans permettaient d'une certaine manière aux protagonistes de conserver en mémoire, à l'état latent, partiellement ou bien encore totalement leur ancienne immobilité. Ce qui fait de "l'amitié de la badèche rouge insulaire" (ou badèche à peigne) le roman étudiant le mieux la question.
== "Pas obligatoire de le lire",nous dit le [[professeur Wzftufjhz]]  ==


C'est une véritable oeuvre de fiction, et en ce sens, il n'est pas obligatoire de la lire, ainsi on ne saura pas forcément comment les choses évoluent, le but du roman étant la question même d'immobilité.
C'est une véritable oeuvre de fiction, et en ce sens, il n'est pas obligatoire de la lire, ainsi on ne saura pas forcément comment les choses évoluent, le but du roman étant la question même d'immobilité.


En conclusion un roman infiniment personnel et réfléchi qui à la manière de Simpson, oscillant sans frontière délimitée entre réalité externe et interne, comme tel est le cas chez les badèches rouges insulaires (ou badèches à peignes).
En conclusion un roman infiniment personnel et réfléchi qui à la manière de Simpson, oscillant sans frontière délimitée entre réalité externe et interne, comme tel est le cas chez les badèches rouges insulaires (ou badèches à peignes).

Version du 28 juin 2007 à 17:28

"L'amitié de la badèche rouge insulaire" (ou "l'amitié de la badèche à peignes").Roman d' Homère Simpson(L'Odyssée d'Ulysse Gosset, tome V, 1925.)

Plutôt complexe ce roman. Très certainement le roman de Homère Simpson le plus pensé, le mieux construit, le plus abouti, et écrit le plus gros( 3 lettres par page format A4).


Construction, subsidiarité et immobilité

Construit de façon à ce que les pages tombent du livre quand on l'ouvre, il nous pose une question essentielle, touchant l'immobilité (bouge-je?) et une question subsidiaire sur la personnalité unique de chacun des gens, à savoir « Suis je protogyne? ».

Trame, précédence et conscience

La trame reste simple et son déroulement aussi, cela suppose néamoins qu'il faille se rappeler des lettres précédentes pour pouvoir apprécier le changement que le roman opère au niveau de la conscience.

Souvenir, culpabilité et grotte sous-marine

Il s'agit donc de Brunehilde Gosset dévorant sa femme Gaston, et de son seul souvenir de cet acte résidant dans une arête, la preuve de sa culpabilité.

Et le voilà, seul dans sa grotte sous-marine, parfaite image du mérou en marge de la société, sans issue possible, à part l'obésité et affronter la lipophobie de ces contemporains. Vient alors ce qui pourrait sembler un autre roman. En effet, le protagoniste est maintenant Antoine Hummel.

Antoine Hummel, assassin protogyne et rien à foutre

Qui est Antoine Hummel ?

C'est justement en cela que se fonde le message du roman. Brunehilde Gosset est peut être un assassin protogyne, ou alors il avait faim, ou alors, il se trouve peut être en train de rêver, ou alors Antoine Hummel n'a rien à foutre là, ou alors...

Rien de cela en fait si on relit du début sans se tromper.

"qui? moi? un mérou?"

Une deuxième chance est alors accordée à Brunehilde Gosset. Il prend possession du corps de quelqu'un d'innocent, voir de simplet. Une sorte de miracle qui lui permet de vivre la vie d' Antoine Hummel. Mais Antoine Hummel ne se souvient pas de sa vie en tant que Brunehilde Gosset, elle est comme totalement occultée par son orgueil(Chapître 7: "qui? moi? un mérou?") et sa collaboration à Ardkorpédia. C'est ce en quoi réside le danger, une menace inéluctable et latente.

Ce personnage rencontre un chinois, qui est dans le roman joué par Gaston, la femme de Brunehilde Gosset. Cet élément n'est en aucun cas anodin et sert ainsi à soutenir le fait que le personnage d'Antoine Hummel n'a vraiment aucun souvenir de sa vie antérieure et à embrouiller le lecteur.

Cela confère aussi une image respectable au personnage du Pape, qui dans le roman est marié avec le chinois et cesse ainsi de mener la vie de patachon propre aux célibataires.

Paroxysme de l'inéluctabilité, effectifs de la population et échange d'immobilité

Le danger annoncé surgit alors peu à peu, quand Antoine Hummel se met à perturber de gestes imprudents de sa nageoire gauche, venant en tant que séquelles et qui nous permettent progressivement de comprendre que le développement sexuel de Brunehilde Gosset est de type hermaphrodite protogyne et que l'inversion sexuelle se fait sur les côtes tunisiennes, à partir de 9 ans, ce dont on se doutait.

Paroxysme de l'inéluctabilité, Antoine Hummel redevient corporellement Brunehilde Gosset. La seule leçon qu'il puisse alors tirer, c'est de savoir que le mérou est une espèce à risque sur le plan des effectifs de population et qu'il n'y a pas d'intérêt à être protogyne dans la mesure où nos actes sont inhérents à notre personnalité, et ce, qu'on le veuille ou non.

« mais qu'est ce que je perd mon temps à écrire ces conneries ? »

Un roman parfaitement maîtrisé florissant de nouveaux modes d'expression, présentant un réflexion directe sur le sens même d'être ce que nous sommes, qui aborde des notions insaisissable contenant des questions telles que « mais qu'est ce que je perd mon temps à écrire ces conneries ?», cette question constituant sans aucun doute un des mystères les plus occultes de la vie.

Une véritable tragédie grecque, présentant un protagoniste dont l'âme est condamné dès le début, s'attachant plus à la métaphysique qu'à la psychologie des poisson volant|poissons volants, malmenant notre compréhension en nous dirigeant dans un premier abord vers les mauvaises questions, des questions de lecteurs basiques telles que « pourquoi l'a t'il mangé ?».

Le thème de l'échange d'immobilité avait déjà été abordé en littérature mais jamais de cette manière. En effet, les autres romans permettaient d'une certaine manière aux protagonistes de conserver en mémoire, à l'état latent, partiellement ou bien encore totalement leur ancienne immobilité. Ce qui fait de "l'amitié de la badèche rouge insulaire" (ou badèche à peigne) le roman étudiant le mieux la question.

"Pas obligatoire de le lire",nous dit le professeur Wzftufjhz

C'est une véritable oeuvre de fiction, et en ce sens, il n'est pas obligatoire de la lire, ainsi on ne saura pas forcément comment les choses évoluent, le but du roman étant la question même d'immobilité.

En conclusion un roman infiniment personnel et réfléchi qui à la manière de Simpson, oscillant sans frontière délimitée entre réalité externe et interne, comme tel est le cas chez les badèches rouges insulaires (ou badèches à peignes).