« Islam » : différence entre les versions

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La question de poser l'islam comme système de conventions morales ou éthiques, à notre époque, où l'oeil très phénoménologique de mes concitoyens forme son opinion usurpée, me paraît, sans vouloir entraver les récents travaux du très sérieux Alain Krivine, d'une indicible mauvaise foi et d'une incapacité à changer la France profondément et intelligemment, j'entends, par les voies qui lui sont propres, afin de faire en sorte de ne plus sombrer dans une énième et outrageuse déclaration soufflée de démesure revendiquée, bien souvent d'une nécessité factice dans l'espace public de notre république.
La question de poser l'islam comme système de conventions morales ou éthiques, à notre époque, où l'oeil très phénoménologique de mes concitoyens forme son opinion usurpée, me paraît, sans vouloir entraver les récents travaux du très sérieux Alain Krivine, d'une indicible mauvaise foi et d'une incapacité à changer la France profondément et intelligemment, j'entends, par les voies qui lui sont propres, afin de faire en sorte de ne plus sombrer dans une énième et outrageuse déclaration soufflée de démesure revendiquée, bien souvent d'une nécessité factice dans l'espace public de notre république.
En effet, après un travail préliminaire dont la qualité n'est plus à prouver, et relevant d'un effort commun, de forces et de convictions attentives au socle de notre nation, je ne suis plus condamné à considérer l'ensemble de ces questions dans une optique habituelle, qui relève, à mon sens, d'une fantasque fantaisie, leur propos, à la limite de la métaphysique, ayant pour effet, une fois de plus de geler l'espace d'actions que tout politicien se voit en droit de saisir.
En effet, après un travail préliminaire dont la qualité n'est plus à prouver, et relevant d'un effort commun, de forces et de convictions attentives au socle de notre nation, je ne suis plus condamné à considérer l'ensemble de ces questions dans une optique inopérante et stérile qui avait pour habitude de geler l'espace d'actions que tout politicien se voit en droit de saisir.
Voyez-vous j'entendrais volontiers plutôt la question sous l'angle de l'élargissement, pour ainsi cesser le mouvement que je nommerais conventionnel sur la question, et par là, je tenais à appuyer cette thèse selon laquelle l'islam peut être vu comme d'essence normative pour le maintien délibéré et appuyé de l'engagement civilisationo-relationnel de notre société de France.
Voyez-vous j'entendrais volontiers plutôt la question sous l'angle de l'élargissement, pour ainsi cesser le mouvement que je nommerais conventionnel sur la question, et par là, je tenais à appuyer cette thèse selon laquelle l'islam peut être vu comme d'essence normative pour le maintien délibéré et appuyé de l'engagement civilisationo-relationnel de notre société de France.



Version du 19 juin 2013 à 23:48

Propos recueillis sur le formidable blog d'Alain Juppé :

La question de poser l'islam comme système de conventions morales ou éthiques, à notre époque, où l'oeil très phénoménologique de mes concitoyens forme son opinion usurpée, me paraît, sans vouloir entraver les récents travaux du très sérieux Alain Krivine, d'une indicible mauvaise foi et d'une incapacité à changer la France profondément et intelligemment, j'entends, par les voies qui lui sont propres, afin de faire en sorte de ne plus sombrer dans une énième et outrageuse déclaration soufflée de démesure revendiquée, bien souvent d'une nécessité factice dans l'espace public de notre république. En effet, après un travail préliminaire dont la qualité n'est plus à prouver, et relevant d'un effort commun, de forces et de convictions attentives au socle de notre nation, je ne suis plus condamné à considérer l'ensemble de ces questions dans une optique inopérante et stérile qui avait pour habitude de geler l'espace d'actions que tout politicien se voit en droit de saisir. Voyez-vous j'entendrais volontiers plutôt la question sous l'angle de l'élargissement, pour ainsi cesser le mouvement que je nommerais conventionnel sur la question, et par là, je tenais à appuyer cette thèse selon laquelle l'islam peut être vu comme d'essence normative pour le maintien délibéré et appuyé de l'engagement civilisationo-relationnel de notre société de France.

En tenant mes considérations aux dispositions de chacun, je fais le serment, de mon haleine républicaine, de mes plus sincères distinctions et espère ainsi être un des tenants d'un important débat de société.


Le saviez-tu?

Tout ceci ne veut absolument rien dire.