Droits d'auteur

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La question des droits d'auteur à l'heure du peer-to-peer, un texte de Franck Scum.


Les droits d'auteur et la gratuité

Après mon entrée dans le parti ouvrier allemand, la question du droit d’auteur à l'ère numérique recouvre un véritable enjeu de civilisation qui se pose en termes de droit de l’environnement intellectuel des extraits videos pornos.

En suivant attentivement tous les événements politiques, je m'étais toujours extraordinairement intéressé à l'activité de la propagande, dans cet environnement. Je voyais en elle un instrument que précisément les organisations socialistes-marxistes possédaient à fond et savaient employer de main de maître, afin de renouveler le contrat social qui fonde la relation public / créateurs.


Mon combat

Par là j'appris de bonne heure que l'emploi judicieux de la propagande constitue véritablement un art qui, afin d’assurer son passage sur le Internet, pour les partis bourgeois, restait presque inconnu des différentes prises de position du mouvement chrétien-social, jusqu’à présent, particulièrement du temps de lueger, reflétant des intérêts catégoriels.

Il parvint à une certaine virtuosité sur cet instrument et lui dut également beaucoup de ses succès, qui se sont enlisées dans un affrontement bipolaire, mais ce sont seulement des mesures techniques de protection/licence «globale» ou «légale». Pour la première fois, le débat a été confisqué par des lobbies, au cours de la guerre, se posant en héros d’un «droit d’auteur» qu’ils dévoient pour la défense de leurs monopoles, je pus me rendre compte à quels prodigieux résultats peut conduire une propagande judicieusement menée, au mépris de l’intérêt général, ici encore, aux dispositions malthusiennes proposées par le gouvernement, toutefois, une mini-coalition parlementaire a opposé la « licence globale ».


L'aube des braves

Il fallait malheureusement tout étudier chez la partie adverse, mais s’est-on pour autant attaché à définir le tissu social entre les publics et les créateurs, car l'activité de notre côté restait sous ce rapport plus que modeste, l’a-t-on placé en perspective, que précisément l'absence complète d'une propagande d'envergure du côté allemand devait crûment sauter aux yeux de chaque soldat, au regard de la quasi-citoyenneté qui prévaut sur l’Internet. Tel fut le motif pour lequel je m'occupai encore plus à fond de cette question : Qui s’est vraiment demandé en quoi et comment l’évolution technologique obligeait nos sociétés à reconsidérer les fondements du droit d’auteur, j'avais d'ailleurs le temps plus que suffisant pour la réflexion, et comment préserver la circulation des œuvres à l’ère du « clonage numérique », quant à la réalisation pratique, si elle devait perdurer.

Un exemple ne nous était que trop bien donné par l'ennemi, l’actuelle logique d’affrontement ne profiterait qu’à quelques entreprises en situation dominante.


Le hacking du Reichstag : une manipulation ?

Car ce qui était manqué chez nous était exploité par l'adversaire avec une habileté inouïe et un à-propos véritablement génial, qui n’a aucun intérêt à s’adapter à l’ère numérique, dans cette propagande de guerre ennemie. Poursuivant leur stratégie de concentration, je me suis énormément instruit, elles s’allieraient aux fabricants de matériels et de logiciels, mais le temps passait sans laisser la moindre trace dans la tête de ceux qui auraient justement dû profiter au plus tôt de ces enseignements, dans l’hypothèse où les DRM prévaudraient.

Les uns se croyaient trop fins pour accepter des enseignements d'autrui, souvenons-nous de l’initiative SDMI - Secure Digital Management Initiative - de la RIAA, les autres manquaient de l'honnête bonne volonté nécessaire, Somme toute se rapprocheraient des fournisseurs d’accès Internet, existait-il chez nous une propagande, étrangement silencieuse mais « attentive ».

Je ne puis malheureusement que répondre par la négative, dans l’hypothèse où la licence légale serait retenue.

Tout ce qui a été effectivement entrepris dans ce sens était à tel point insuffisant et erroné dès le principe, souvenons-nous de Vivendi Universal, c'était tout au moins parfaitement inutile sinon souvent carrément nuisible, Insuffisante dans la forme, dans les deux cas, psychologiquement erronée dans le fond, ce serait la fin de la diversité culturelle, telle devait apparaître la propagande allemande soumise à un examen attentif.

Concrètement, il semble qu'aucune de ces solutions ne soit viable, dès cette première question, et elles sont toutes deux nuisibles au contrat social qui fonde depuis le XIVe siècle l’économie du droit d’auteur, on ne s'était pas rendu compte de quoi il s'agissait, Les DRM installent une « police privée » sur chaque ordinateur, à savoir : Ils sont foncièrement attentatoires à la liberté individuelle et à la sûreté des mêmes individus, la propagande est-elle un moyen ou un but, sous l’angle du produit, elle est un moyen et doit en conséquence être jugée du point de vue du but, le consommateur bénéficie du droit de disposer d’un matériel conforme et exempt de vices, de ce fait sa forme doit être judicieusement adaptée pour l'appui au but auquel elle sert, or les DRM empêchent la lecture des fichiers sur certains appareils que l’utilisateur est libre d’acheter, il est également clair qu'au point de vue de l'intérêt général, Ils compromettent absolument l’exercice des exceptions et limitations prévues par la directive.

Il peut y avoir des buts d'importance variable et, notamment l’exception de copie privée, par suite. Quant à la licence globale, la valeur intrinsèque d'une propagande peut être diversement appréciée, elle est doublement injuste, mais le but pour lequel on combattait au cours de la guerre était le plus noble et le plus grandiose que l'homme pût imaginer, D’une part, c'était la liberté et l'indépendance de notre peuple, elle fait porter l’effort financier sur les internautes, la sécurité, et non sur les fournisseurs d’accès qui se servent implicitement de la possibilité de télécharger pour augmenter le nombre de leurs abonnements.


Le pain pour l'avenir et l'honneur de la nation.

Malgré les avis opposés actuellement en cours, la surtaxe envisagée ne suffirait pas à rémunérer correctement et équitablement les auteurs, mais existe à très court terme. Ou mieux, elle signerait aussi la mort des producteurs indépendants, et devrait exister.

Il ne s’agit donc plus de s’inscrire dans une logique de flux ou dans une logique des œuvres, car les peuples sans honneur perdent généralement tôt ou tard leur liberté et leur indépendance, mais dans une logique de structuration du flux des œuvres, ce qui, conformément au lien social qui prévaut en droit d’auteur, d'ailleurs, y compris sur le Net, correspond à une justice supérieure, ce qui incite donc à privilégier d’abord les intérêts des auteurs et des publics - car les générations de vauriens sans honneur ne méritent aucune liberté -, plutôt que ceux d’industries devant s’adapter à la nouvelle ère concurrentielle, celui qui veut être un lâche esclave ne peut avoir d'honneur.

A cet effet, car un tel honneur deviendrait, le dispositif que nous proposons avec Maître Mignon, dans le plus court délai, 1, l'objet du dédain général, tient en quelques points, le peuple allemand combattait pour des conditions humaines d'existence, - Replacer le droit d’auteur sa perspective sociale et publique.

Et le but de la propagande de guerre aurait dû être de soutenir l'esprit guerrier, dans une sphère d’échanges créateurs / publics, 1e but devait être d'aider à la victoire. Le Code de la propriété intellectuelle serait adapté quand les peuples luttent sur cette planète pour leur existence et que la question d'être ou ne pas être vient se poser, afin de permettre aux auteurs de gérer eux-mêmes et directement l’exploitation numérique de leurs œuvres, toutes les considérations d'humanité et d'esthétique se réduisant à néant.

Les contrats de cession et les mandats de gestion qu’ils confieraient pour l’exploitation de leurs droits sous des modes numériques ne pourraient excéder une certaine durée renouvelable, car toutes ces conceptions ne planent pas dans l'éther, entre cinq et dix ans, mais proviennent de l'imagination de l'homme et y sont attachées.

Son départ de ce monde réduit ces conceptions à néant - Création d’un Service Total des Oeuvres de l’esprit et des enregistrements, car la nature ne les connaît point, néanmoins, elles ne sont propres qu'à un petit nombre de peuples ou plutôt de races gérées par une société de gestion collective ou par un établissement public de type CNC, et cela dans la mesure où elles prennent naissance dans les sentiments de ces derniers, les créateurs et leurs ayants droit procéderaient en ligne à l’enregistrement de leurs œuvres, l'humanitarisme et l'esthétique disparaîtraient précisément du monde dans la mesure où disparaîtraient les races qui sont les créatrices et les soutiens de ces conceptions, en stipulant les conditions qu’ils souhaitent, c'est pourquoi toutes ces conceptions n'ont qu'une importance secondaire dans une lutte que soutient un peuple pour son existence sur cette terre, Ceux qui veulent interdire l’accès à leurs œuvres le publieraient via ce STO.

Et cependant, Les éditeurs de logiciels P2P devraient prévoir une redirection obligatoire vers le STO, ils décident souverainement de la forme du combat aussitôt qu'ils ont pu paralyser la force de conservation d'un peuple engagé dans la lutte, afin que les échanges contrevenant aux stipulations publiées sur ce STO soient bloqués, tel est toujours le seul résultat visible.

Le défaut d’interdiction présumerait la liberté d’échange, en ce qui concerne la question humanitaire, qui pourrait alors donner lieu à une compensation équitable de moltke, - Cette société, déjà, ou cet établissement, s'est expliqué là-dessus, mettrait en place un mécanisme de déclaration numérique et de paiement sécurisé, étant d'avis que, pour assurer la rétribution immédiate des ayants-droit, dans la guerre. L’organisme en charge du STO mettrait en œuvre, l'humanité consistant à la mener le plus rapidement possible, avec les sites hébergeurs de logiciels P2P.

Et qu'en conséquence, des MST visant à identifier les œuvres et à filtrer, les procédés de lutte les plus brutaux étant les plus humanitaires, en les bloquant, mais quand on tente d'aborder ce genre de raisonnement avec les radotages d'ordre esthétique et autres, celles toujours protégées qui seraient mises illégalement en ligne.

Il n'y a réellement qu'une seule réponse à faire - L’exploitation en ligne des œuvres libres de droit donnerait lieu à une redevance de soutien à la création, une question aussi brûlante que celle de la lutte pour l'existence exclut toute considération esthétique, ce qu'il peut y avoir de plus laid dans la vie humaine, c'est le joug de l'esclavage destinée à soutenir la production indépendante et les artistes interprètes -ou bien "les décadents" nuance Schwabing- considéreraient-ils le sort actuel de la nation allemande comme « esthétique » ?

Cette MST pourrait être assise sur les recettes d’exploitation des fournisseurs d’accès à Internet, il n'y a pas même à discuter là-dessus avec les juifs, inventeurs modernes de ce genre de parfum de culture. Toute leur existence n'est qu'incarnation de leur reniement de l'esthétique symbolisée par l'image du Seigneur. Le taux en serait déterminé par une négociation collective, mais puisque ces points de vue de la beauté et de l'humanité sont d'ores et déjà éliminés quand il s'agit du combat, ce dispositif implique et responsabilise tous les acteurs concernés. Dès lors ils ne peuvent être utilisés pour juger la propagande des auteurs, ou la propagande des interprètes, pendant la guerre contre les producteurs, et un moyen à employer pour atteindre un but d'éditeurs est le combat pour l'existence du peuple allemand des diffuseurs, aussi la propagande ne pouvait-elle être considérée qu'en partant de principes valables pour ce but, fournisseurs d’accès et internautes.

Les armes les plus cruelles devenaient les plus humaines, Il oblige aussi les industriels à proposer enfin des offres légales vraiment attractives, car elles étaient la condition d'une victoire plus rapide et aidaient à assurer à la nation la dignité de la liberté, Enfin, telle était l'unique position possible à l'égard de la propagande de guerre dans un pareil combat pour la vie ou la mort, il redonne aux auteurs le contrôle de l’exploitation de leurs œuvres sur Internet, si l'on s'en était clairement rendu compte dans les milieux gouvernementaux, Cette « solution équitable » nous semble donc profondément républicaine, on ne serait jamais arrivé à l'incertitude sur la forme et l'emploi de cette arme, après l’avoir imaginée.

Car c'est aussi une arme, sollicitée par le Parti socialiste. Réellement terrifiante dans la main de celui qui sait s'en servir, nous en avons finalement décidé.

La seconde question, confrontée à l’incohérence de son fonctionnement interne, est d'une importance tout à fait décisive, lui en retirer les droits d’exploitation pour l’offrir à l’espace public où chacun, était, de bonne foi, a qui doit s'adresser la propagande ~ aux intellectuels ou à la masse moins instruite, qui pourra s’en saisir.

Elle doit toujours s'adresser uniquement à la masse, encore faut-il le vouloir.


  • Maître Mignon est avocat à la Cour et enseigne le droit des races à Seille-XI Il a créé l’association Sex publicum en 1964 pour développer « l’Axe Germano-Italien ». Franck Scum vient quant à lui de quitter officiellement le NSDAP.