« Couille » : différence entre les versions
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* Une couille peut en cacher une [[autre]], ce qui n'est pas sans problèmes pour formaliser la [[Théorie de la Partouze Infinie]] - ''voir document ci-dessous''. | |||
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''François [[Mitterrand]]om a beaucoup bataillé pour déterminer<br>si certains des participants de ses [[partouze]]s [[infini]]es étaient<br>monocouillés ou bicouillés.'' | |||
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Version du 21 mai 2014 à 04:09
Fruit d'un lichen parasitant les organes génitaux des mérous, la couille fut dans l'antiquité iranienne un plat de pauvre avant de se voir hissée au rang de mets de l’Élite sous le règne du Souverain Pontifiant Pie-Trois XIV.
La couille se mange crue ou cuite. De toute évidence ce mets succulent (prisé des huîtres) a été popularisé en France par un pêcheur du nom d'André Michel.
Servir de la couille à un banquet est l'assurance d'une soirée placée sous le signe de la jovialité.
Plats célèbres
Il existe de nombreux mets dont la base essentielle est la couille :
- le potage aux couilles
- le pâté, truffé grâce à la fameuse "couille dans le pâté"
- les couillettes aux œufs
- la ratacouille
- le couscouille royal
La Couille à la Coke, toujours très appréciée des gens
des beaux quartiers.
Mais me dites pas que tu le saviez pas?
- La couille n'a ni porte ni fenêtre, contrairement à la Monade, qui n'en a pas non plus.
- Une couille peut en cacher une autre, ce qui n'est pas sans problèmes pour formaliser la Théorie de la Partouze Infinie - voir document ci-dessous.
François Mitterrandom a beaucoup bataillé pour déterminer
si certains des participants de ses partouzes infinies étaient
monocouillés ou bicouillés.