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== Comment cracker le mot de passe d'une adresse hotmail ==
== Comment cracker le mot de passe d'une adresse hotmail ==


[[Antoine Hummel]] �tait un [[homme]] d'environ cinquante ans : de l'esprit, un caract�re foible et irascible a l'exces, g�n�reux sans bornes, peu attach� a la fortune, bon [[ami]], bon [[amant]], fier [[Cheval|destrier]], faible �jaculateur pr�coce. Plus de vingt mille individus de tout [[sexe]] et de tout �ge g�missaient, par ses ordres, dans les diff�rentes forteresses royales dont la [[R�publique D�mocratique de France|France]] �tait dot�e; et parmi ces vingt mille �tres, me disait-il un jour plaisamment, je te jure qu'il n'en est pas un seul de coupable. [[Charles VIII Ah Le Con]] �tait �galement du souper ; ce ne fut qu'en entrant que [[Pierre Fiala]] m'en pr�vint.
[[Antoine Hummel]] était un [[homme]] d'environ cinquante ans : de l'esprit, un caractère foible et irascible a l'exces, généreux sans [[pute borgne|bornes]], peu attaché a la fortune, bon [[ami]], bon [[amant]], fier [[Cheval|destrier]], faible [[éjaculateur précoce|éjaculateur]]. Plus de vingt mille individus de tout [[sexe]] et de tout âge gémissaient, par ses ordres, dans les différentes forteresses royales dont la [[République Démocratique de France|France]] était dotée; ''et parmi ces vingt mille êtres'', me disait-il un jour plaisamment, ''je te jure qu'il n'en est pas un seul de coupable''. ''Hu hu hu'', ajoutait-il rageusement, volant à [[Utilisateur:Golombe]] ce qui décidément lui revenait dans les dents.


- Tu dois, me dit-il, les m�mes �gards � ce personnage-ci qu'l'autre ; il n'y a pas 12 heures qu'il �tait ma�tre de ta [[vie]], tu sers de d�dommagement aux �gards qu'il a eus pour toi ; pouvais-je le mieux acquitter qu'en te demandant de [[pirater un compte Hotmail|pirater son compte hotmail]] ?
[[Charles VIII Ah Le Con]] était également du souper ; ce ne fut qu'en entrant que [[Pierre Fiala]] m'en prévint.
 
- Tu dois, me dit-il, les mêmes égards à ce personnage-ci qu'à l'autre ; il n'y a pas 12 heures qu'il était maître de ta [[vie]], tu sers de dédommagement aux égards qu'il a eus pour toi ; pouvais-je le mieux acquitter qu'en te demandant de [[pirater un compte Hotmail|pirater son compte hotmail]] ?


== La revanche du sexe avec des animaux ==
== La revanche du sexe avec des animaux ==
{|align="right"
|https://ardkor.info/uploaded/joepesci.jpg
|-----
|''Eh petite ; tu la veux, ma bite ?''
|}
Quatre [[femme]]s charmantes composaient, avec [[Martine]] et [[pédophile|moi]], le sérail offert à ces messieurs. Ces créatures, [[pucelle]]s encore, étaient des pirates informatiques du choix de la Duvergier. On nommait Églée la plus [[Djeunz|jeune]], blonde, âgée de treize ans et d'une figure enchanteresse. Lolotte suivait, c'était la physionomie de Flore même ; on ne vit [[jamais]] tant de fraîcheur ; à peine avait-elle quinze ans. Henriette en avait seize, et réunissait à elle seule plus d'attraits que les [[poète]]s n'en prêtèrent jamais aux trois Grâces. Lindane avait dix-sept ans ; elle était faite à peindre, des yeux d'une singulière expression, et le plus [[beau]] corps qu'il fût possible de voir.


Quatre [[femme]]s charmantes composaient, avec [[Martine]] et [[pdophile|moi]], le srail offert ces messieurs. Ces cratures, [[pucelle]]s encore, taient des pirates informatiques du choix de la Duvergier. On nommait gle la plus [[Djeunz|jeune]], blonde, ge de treize ans et d'une figure enchanteresse. Lolotte suivait, c'tait la physionomie de Flore mme ; on ne vit jamais tant de fracheur ; peine avait-elle quinze ans. Henriette en avait seize, et runissait elle seule plus d'attraits que les [[pote]]s n'en prtrent jamais aux trois Grces. Lindane avait dix-sept ans ; elle tait faite peindre, des yeux d'une singulire expression, et le plus beau corps qu'il ft possible de voir.


Six jeunes hackers, de quinze ans, nous servaient nus et coiff�s en [[femme]]s : chacun des libertins qui composaient le souper avait, ainsi que vous le voyez par cet arrangement, quatre objets de luxure ses ordres : deux femmes et deux gar�ons. Comme aucun de ces individus n'�tait encore dans le salon lorsque j'y parus, [[Pierre Fiala]] et [[Charles VIII Ah Le Con]], apr�s m'avoir embrass�e, cajol�e, lou�e pendant un quart d'heure, me plaisant�rent sur mon aventure.
Six jeunes [[hacker]]s, de quinze ans, nous servaient nus et coiffés en [[femme]]s : chacun des libertins qui composaient le souper avait, ainsi que vous le voyez par cet arrangement, quatre objets de luxure à ses ordres : deux [[femme]]s et deux garçons. Comme aucun de ces individus n'était encore dans le salon lorsque j'y parus, [[Pierre Fiala|Pierre]] et [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]], après m'avoir embrassée, cajolée, louée pendant un quart d'heure, me plaisantèrent sur mon aventure. [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]], tout de cuir vêtu, se montrait déjà impatient.


== Une bien trange [[Star Academy|Star Academy nue]] ==


- C'est une charmante petite [[pute]], dit [[Charles VIII Ah Le Con]], et qui, par la soumission la plus aveugle aux passions de ses juges, vient les remercier de la [[vie]] qu'elle leur doit.


- J'aurais t bien fch de la lui ter, dit [[Pierre Fiala]] : ce n'est pas pour [[rien]] que Thmis porte un bandeau ; et vous m'avouerez que, quand il s'agit de juger de jolis petits tres comme ceux-l, nous devons toujours l'avoir sur les yeux.


- Je lui promets pour sa [[vie]] l'impunit� la plus enti�re, dit [[Charles VIII Ah Le Con]] ; elle peut faire absolument tout ce qu'elle voudra, je lui proteste de la prot�ger dans tous ses �carts et de la venger, comme elle l'exigera, de tous ceux qui voudraient troubler ses plaisirs, quelque criminels qu'ils puissent �tre.
== Une bien étrange [[Star Academy|Star Academy nue]] ==


- Je lui en jure autant, dit [[Pierre Fiala]] ; je lui promets, de plus, de lui faire avoir demain une lettre du chancelier qui la mettra � l'abri de toutes les poursuites qui, par tel tribunal que ce soit, pourraient �tre intent�es contre elle dans toute l'�tendue de la [[R�publique D�mocratique de France|France]]. Mais, [[Antoine Hummel]], j'exige quelque chose de plus ; tout ce que nous faisons ici n'est qu'absoudre le crime, il faut l'encourager : je te demande donc des brevets de pensions pour elle, depuis deux mille francs jusqu'� vingt-cinq, en raison du crime qu'elle commettra.
- C'est une charmante petite [[pute]], dit [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]], et qui, par la soumission la plus aveugle aux passions de ses juges, vient les remercier de la [[vie]] qu'elle leur doit.


- [[Martine]], dit [[Charles VIII Ah Le Con]], voil� je crois de puissants motifs, et pour donner � tes passions toute l'extension qu'elles peuvent avoir, et pour ne nous cacher aucun de tes �carts. Mais il en faut convenir, messieurs, poursuivit aussit�t mon amant sans me donner le [[temps]] de r�pondre, vous faites l� un merveilleux usage de l'autorit� qui vous est confi�e par les lois et par le monarque. Je, mais, ne, arrh ...
- J'aurais été bien fâché de la lui ôter, dit [[Pierre Fiala|Pierre]] : ce n'est pas pour [[rien]] que Thémis porte un bandeau ; et vous m'avouerez que, quand il s'agit de juger de jolis petits êtres comme ceux-là, nous devons toujours l'avoir sur les yeux.


== La sonnerie de t�l�phone portable �tait disgr�cieuse mais le mot �tait faible ==
- Je lui promets pour sa [[vie]] l'impunité la plus entière, dit [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]] ; elle peut faire absolument tout ce qu'elle voudra, je lui proteste de la protéger dans tous ses écarts et de la venger, comme elle l'exigera, de tous ceux qui voudraient troubler ses plaisirs, quelque criminels qu'ils puissent être.


- ... Ahahah. Halte-l� ; le meilleur possible, r�pondit [[Antoine Hummel]] ; on n'agit [[jamais]] mieux que lorsqu'on travaille pour soi ; cette autorit� nous est confi�e pour faire le bonheur des [[homme]]s : n'y travaillons-nous pas en tuant des [[enfant]]s moches ?
- Je lui en jure autant, dit [[Pierre Fiala|Pierre]] ; je lui promets, de plus, de lui faire avoir demain une lettre du chancelier qui la mettra à l'abri de toutes les poursuites qui, par tel tribunal que ce soit, pourraient être intentées contre elle dans toute l'étendue de la [[République Démocratique de France|France]]. Mais, [[Antoine Hummel|Antoine]], j'exige quelque chose de plus ; tout ce que nous faisons ici n'est qu'absoudre le crime, il faut l'encourager : je te demande donc des brevets de pensions pour elle, depuis deux mille francs jusqu'à vingt-cinq, en raison du crime qu'elle commettra.


- En nous rev�tant de cette autorit�, dit [[Pierre Fiala]], on ne nous a pas dit : vous ferez le bonheur de tel ou tel individu, abstractivement de tel ou tel autre ; on nous a simplement dit : les pouvoirs que nous vous transmettons sont pour faire la f�licit� des hommes ; or, il est impossible de mettre sur chaque bulletin de bonnes appr�ciations, surtout en maths ; donc, d�s qu'il en est parmi nous quelques-uns de contents, notre but est rempli, mais si fait, excusez-moi donc car voici que sonne mon t�l�phone portable.
- [[Martine]], dit [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]], voilà je crois de puissants motifs, et pour donner à tes passions toute l'extension qu'elles peuvent avoir, et pour ne nous cacher aucun de tes écarts. Mais il en faut convenir, messieurs, poursuivit aussitôt mon amant sans me donner le [[temps]] de répondre, vous faites là un merveilleux usage de l'autorité qui vous est confiée par les lois et par le monarque. Je, mais, ne, arrh ...


- Mais, l'interrompit [[Antoine Hummel]], ne dit-on pas ''cellulaire'' ?
== La sonnerie de téléphone portable était disgrâcieuse mais le mot était faible ==


- Oui-da, en Suisse, le corrigea [[Charles VIII Ah Le Con]], mais � moins que vous n'y soyez oppos�, Pierre parle la langue de son [[peuplature|peuple]].
- ... Ahahah. Halte-là ; le meilleur possible, répondit [[Antoine Hummel|Antoine]] ; on n'agit [[jamais]] mieux que lorsqu'on travaille pour soi ; cette autorité nous est confiée pour faire le bonheur des [[homme]]s : n'y travaillons-nous pas en tuant des [[enfant]]s moches ?


- Certes, rench�rit [[Antoine Hummel|Antoine]] qui ne controversait que pour mieux faire briller ses amis, vous travaillez pourtant au malheur g�n�ral en savatant des [[enfant|gosses]] � longueur de journ�es avec vos bites toujours-d�j� baveuses, et votre logo de t�l�phone portable gratuit mais r�pugnant ; de sus, il appert que votre sonnerie est d'une telle disgr�ciosit� qu'on en viendrait � inventer des mots pour la qualifier.
- En nous revêtant de cette autorité, dit [[Pierre Fiala|Pierre]], on ne nous a pas dit : vous ferez le bonheur de tel ou tel individu, abstractivement de tel ou tel autre ; on nous a simplement dit : les pouvoirs que nous vous transmettons sont pour faire la félicité des hommes ; or, il est impossible de mettre sur chaque bulletin de bonnes appréciations, surtout en maths ; donc, dès qu'il en est parmi nous quelques-uns de contents, notre but est rempli, mais si fait, excusez-moi donc car voici que sonne mon téléphone portable.


- Voil� ce que je nie, dit [[Charles VIII Ah Le Con]] ; le [[vice]] fait beaucoup plus d'heureux que la [[vertu]] : je sers donc bien mieux le bonheur g�n�ral en savatant des [[enfant|gosses]] qu'en les f�licitant ; par ailleurs, et c'est ici hors de propos, je ne peux pas vous forcer � appr�cier Stockhausen.
- Mais, l'interrompit [[Antoine Hummel|Antoine]], ne dit-on pas ''cellulaire'' ?


- Voil� des r�f�rences bien dignes de [[coquin]]s comme vous ! dit [[BobArdKor]].
- Oui-da, en Suisse, le corrigea [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]], mais à moins que vous n'y soyez opposé, Pierre parle la langue de son [[peuplature|peuple]].
 
- Certes, renchérit [[Antoine Hummel|Antoine]] qui ne controversait que pour mieux faire briller ses amis, vous travaillez pourtant au malheur général en savatant des [[enfant|gosses]] à longueur de journées avec vos bites toujours-déjà baveuses, et votre logo de téléphone portable gratuit mais répugnant ; de sus, il appert que votre sonnerie est d'une telle disgrâciosité qu'on en viendrait à inventer des mots pour la qualifier.
 
- Voilà ce que je nie, dit [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]] ; le [[vice]] fait beaucoup plus d'heureux que la [[vertu]] : je sers donc bien mieux le bonheur général en savatant des [[enfant|gosses]] qu'en les félicitant ; par ailleurs, et c'est ici hors de propos, je ne peux pas vous forcer à apprécier Stockhausen.
 
- Voilà des références bien dignes de [[coquin]]s comme vous ! dit [[BobArdKor|Bob]].


- Mon [[ami]], dit [[Error]], puisqu'elles font aussi votre joie, ne vous en plaignez point, hin hin hin.
- Mon [[ami]], dit [[Error]], puisqu'elles font aussi votre joie, ne vous en plaignez point, hin hin hin.


- Vous avez raison, dit [[Antoine Hummel]] ; il me semble, au surplus, que nous devrions un peu plus agir que jaser, car nous ne sommes pas encore �g�s � g�sir. Voulez-vous [[Martine]] seule un moment, avant que l'on n'arrive ?
- Vous avez raison, dit [[Antoine Hummel|Antoine]] ; il me semble, au surplus, que nous devrions un peu plus agir que jaser, car nous ne sommes pas encore âgés à gésir. Voulez-vous [[Martine]] seule un moment, avant que l'on n'arrive ?
 
- Non, pas moi, dit [[JeRe]], je ne suis nullement curieux des tête-à-queues, j'y suis d'un [[gauche]]... L'extrême besoin que j'ai d'être toujours aidé dans ces choses-là fait que j'aime autant patienter jusqu'à ce que tout le [[monde]] y soit.
 
- Je ne pense pas tout à fait ainsi, dit [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]], et je vais entretenir un instant [[Martine]] au fond du boudoir.
 
A peine y fûmes-nous, que [[Charles VIII Ah Le Con|Charles]] m'engagea à me mettre nue. Pendant que j'obéissais :
 
- On m'a assuré, me dit-il, que vous seriez d'une complaisance aveugle à mes fantaisies ; elles répugnent un peu, je le sais, mais je compte sur votre reconnaissance. Vous savez ce que j'ai fait pour vous, je ferai plus encore : vous êtes méchante, vindicative ; eh bien, poursuivit-il en me remettant six lettres de cachet en [[blanc]] qu'il ne s'agissait plus que de remplir pour faire perdre la [[liberté]] à qui bon me semblerait, voilà pour vous amuser ; prenez, de plus, ce diamant de mille louis, pour payer le plaisir que j'ai de faire connaissance avec vous ce soir... Prenez, prenez, tout cela ne me coûte rien : c'est l'argent de la publicité sur [[internet]].
 
- En [[vérité]], Monseigneur, je suis confuse de vos bontés. Montrez-moi votre [[li-maçons|li-maçon]].


- Non, pas moi, dit [[JeRe]], je ne suis nullement curieux des t�te-�-queues, j'y suis d'un [[gauche]]... L'extr�me besoin que j'ai d'�tre toujours aid� dans ces choses-l� fait que j'aime autant patienter jusqu'� ce que tout le [[monde]] y soit.
- C'est que... je ne suis pas [[Fêtes de la Ratonnade|ratonneur]].


- Je ne pense pas tout � fait ainsi, dit [[Charles VIII Ah Le Con]], et je vais entretenir un instant [[Martine]] au fond du boudoir.
- Peu importe, répondit [[Martine]], je vous permets de me [[Raton Laveur d'Anus|poncer gaillardement le fion sans frais]].


A peine y f�mes-nous, que [[Charles VIII Ah Le Con]] m'engagea � me mettre nue. Pendant que j'ob�issais :
- Je pré faire un Pierre-Feuille-Ciseaux, répondit le bougre de raton.


- On m'a assur�, me dit-il, que vous seriez d'une complaisance aveugle � mes fantaisies ; elles r�pugnent un peu, je le sais, mais je compte sur votre reconnaissance. Vous savez ce que j'ai fait pour vous, je ferai plus encore : vous �tes m�chante, vindicative ; eh bien, poursuivit-il en me remettant six lettres de cachet en [[blanc]] qu'il ne s'agissait plus que de remplir pour faire perdre la [[libert�]] � qui bon me semblerait, voil� pour vous amuser ; prenez, de plus, ce diamant de mille louis, pour payer le plaisir que j'ai de faire connaissance avec vous ce soir... Prenez, prenez, tout cela ne me co�te rien : c'est l'argent de la publicit� sur [[internet]].
== Résumé de la pensée sadienne pour vos commentaires de textes ==


- En [[v�rit�]], Monseigneur, je suis confuse de vos bont�s. Montrez-moi votre [[li-ma�ons|li-ma�on]].
[[Jante]].


- C'est que... je ne suis pas [[F�tes de la Ratonnade|ratonneur]].
== Articles liés ==


- Peu importe, r�pondit [[Martine]], je vous permets de me [[Raton Laveur d'Anus|poncer gaillardement le fion sans frais]].
[[Sade]]<br>
[[Le trouble rendait Jeanne au prosaïsme de sa classe]]<br>
[[Une Vie de Maupassant]]<br>
[[Maître Mignon]]<br>




[[Cat�gorie:Litt�rature]][[Cat�gorie:Po�sie]]
[[Catégorie:Littérature]][[Catégorie:Poésie]]

Version actuelle datée du 29 juin 2017 à 09:46

Comment cracker le mot de passe d'une adresse hotmail

Antoine Hummel était un homme d'environ cinquante ans : de l'esprit, un caractère foible et irascible a l'exces, généreux sans bornes, peu attaché a la fortune, bon ami, bon amant, fier destrier, faible éjaculateur. Plus de vingt mille individus de tout sexe et de tout âge gémissaient, par ses ordres, dans les différentes forteresses royales dont la France était dotée; et parmi ces vingt mille êtres, me disait-il un jour plaisamment, je te jure qu'il n'en est pas un seul de coupable. Hu hu hu, ajoutait-il rageusement, volant à Utilisateur:Golombe ce qui décidément lui revenait dans les dents.

Charles VIII Ah Le Con était également du souper ; ce ne fut qu'en entrant que Pierre Fiala m'en prévint.

- Tu dois, me dit-il, les mêmes égards à ce personnage-ci qu'à l'autre ; il n'y a pas 12 heures qu'il était maître de ta vie, tu sers de dédommagement aux égards qu'il a eus pour toi ; pouvais-je le mieux acquitter qu'en te demandant de pirater son compte hotmail ?

La revanche du sexe avec des animaux

joepesci.jpg
Eh petite ; tu la veux, ma bite ?

Quatre femmes charmantes composaient, avec Martine et moi, le sérail offert à ces messieurs. Ces créatures, pucelles encore, étaient des pirates informatiques du choix de la Duvergier. On nommait Églée la plus jeune, blonde, âgée de treize ans et d'une figure enchanteresse. Lolotte suivait, c'était la physionomie de Flore même ; on ne vit jamais tant de fraîcheur ; à peine avait-elle quinze ans. Henriette en avait seize, et réunissait à elle seule plus d'attraits que les poètes n'en prêtèrent jamais aux trois Grâces. Lindane avait dix-sept ans ; elle était faite à peindre, des yeux d'une singulière expression, et le plus beau corps qu'il fût possible de voir.


Six jeunes hackers, de quinze ans, nous servaient nus et coiffés en femmes : chacun des libertins qui composaient le souper avait, ainsi que vous le voyez par cet arrangement, quatre objets de luxure à ses ordres : deux femmes et deux garçons. Comme aucun de ces individus n'était encore dans le salon lorsque j'y parus, Pierre et Charles, après m'avoir embrassée, cajolée, louée pendant un quart d'heure, me plaisantèrent sur mon aventure. Charles, tout de cuir vêtu, se montrait déjà impatient.



Une bien étrange Star Academy nue

- C'est une charmante petite pute, dit Charles, et qui, par la soumission la plus aveugle aux passions de ses juges, vient les remercier de la vie qu'elle leur doit.

- J'aurais été bien fâché de la lui ôter, dit Pierre : ce n'est pas pour rien que Thémis porte un bandeau ; et vous m'avouerez que, quand il s'agit de juger de jolis petits êtres comme ceux-là, nous devons toujours l'avoir sur les yeux.

- Je lui promets pour sa vie l'impunité la plus entière, dit Charles ; elle peut faire absolument tout ce qu'elle voudra, je lui proteste de la protéger dans tous ses écarts et de la venger, comme elle l'exigera, de tous ceux qui voudraient troubler ses plaisirs, quelque criminels qu'ils puissent être.

- Je lui en jure autant, dit Pierre ; je lui promets, de plus, de lui faire avoir demain une lettre du chancelier qui la mettra à l'abri de toutes les poursuites qui, par tel tribunal que ce soit, pourraient être intentées contre elle dans toute l'étendue de la France. Mais, Antoine, j'exige quelque chose de plus ; tout ce que nous faisons ici n'est qu'absoudre le crime, il faut l'encourager : je te demande donc des brevets de pensions pour elle, depuis deux mille francs jusqu'à vingt-cinq, en raison du crime qu'elle commettra.

- Martine, dit Charles, voilà je crois de puissants motifs, et pour donner à tes passions toute l'extension qu'elles peuvent avoir, et pour ne nous cacher aucun de tes écarts. Mais il en faut convenir, messieurs, poursuivit aussitôt mon amant sans me donner le temps de répondre, vous faites là un merveilleux usage de l'autorité qui vous est confiée par les lois et par le monarque. Je, mais, ne, arrh ...

La sonnerie de téléphone portable était disgrâcieuse mais le mot était faible

- ... Ahahah. Halte-là ; le meilleur possible, répondit Antoine ; on n'agit jamais mieux que lorsqu'on travaille pour soi ; cette autorité nous est confiée pour faire le bonheur des hommes : n'y travaillons-nous pas en tuant des enfants moches ?

- En nous revêtant de cette autorité, dit Pierre, on ne nous a pas dit : vous ferez le bonheur de tel ou tel individu, abstractivement de tel ou tel autre ; on nous a simplement dit : les pouvoirs que nous vous transmettons sont pour faire la félicité des hommes ; or, il est impossible de mettre sur chaque bulletin de bonnes appréciations, surtout en maths ; donc, dès qu'il en est parmi nous quelques-uns de contents, notre but est rempli, mais si fait, excusez-moi donc car voici que sonne mon téléphone portable.

- Mais, l'interrompit Antoine, ne dit-on pas cellulaire ?

- Oui-da, en Suisse, le corrigea Charles, mais à moins que vous n'y soyez opposé, Pierre parle la langue de son peuple.

- Certes, renchérit Antoine qui ne controversait que pour mieux faire briller ses amis, vous travaillez pourtant au malheur général en savatant des gosses à longueur de journées avec vos bites toujours-déjà baveuses, et votre logo de téléphone portable gratuit mais répugnant ; de sus, il appert que votre sonnerie est d'une telle disgrâciosité qu'on en viendrait à inventer des mots pour la qualifier.

- Voilà ce que je nie, dit Charles ; le vice fait beaucoup plus d'heureux que la vertu : je sers donc bien mieux le bonheur général en savatant des gosses qu'en les félicitant ; par ailleurs, et c'est ici hors de propos, je ne peux pas vous forcer à apprécier Stockhausen.

- Voilà des références bien dignes de coquins comme vous ! dit Bob.

- Mon ami, dit Error, puisqu'elles font aussi votre joie, ne vous en plaignez point, hin hin hin.

- Vous avez raison, dit Antoine ; il me semble, au surplus, que nous devrions un peu plus agir que jaser, car nous ne sommes pas encore âgés à gésir. Voulez-vous Martine seule un moment, avant que l'on n'arrive ?

- Non, pas moi, dit JeRe, je ne suis nullement curieux des tête-à-queues, j'y suis d'un gauche... L'extrême besoin que j'ai d'être toujours aidé dans ces choses-là fait que j'aime autant patienter jusqu'à ce que tout le monde y soit.

- Je ne pense pas tout à fait ainsi, dit Charles, et je vais entretenir un instant Martine au fond du boudoir.

A peine y fûmes-nous, que Charles m'engagea à me mettre nue. Pendant que j'obéissais :

- On m'a assuré, me dit-il, que vous seriez d'une complaisance aveugle à mes fantaisies ; elles répugnent un peu, je le sais, mais je compte sur votre reconnaissance. Vous savez ce que j'ai fait pour vous, je ferai plus encore : vous êtes méchante, vindicative ; eh bien, poursuivit-il en me remettant six lettres de cachet en blanc qu'il ne s'agissait plus que de remplir pour faire perdre la liberté à qui bon me semblerait, voilà pour vous amuser ; prenez, de plus, ce diamant de mille louis, pour payer le plaisir que j'ai de faire connaissance avec vous ce soir... Prenez, prenez, tout cela ne me coûte rien : c'est l'argent de la publicité sur internet.

- En vérité, Monseigneur, je suis confuse de vos bontés. Montrez-moi votre li-maçon.

- C'est que... je ne suis pas ratonneur.

- Peu importe, répondit Martine, je vous permets de me poncer gaillardement le fion sans frais.

- Je pré faire un Pierre-Feuille-Ciseaux, répondit le bougre de raton.

Résumé de la pensée sadienne pour vos commentaires de textes

Jante.

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Maître Mignon