« Auto-irrumation » : différence entre les versions

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m (toinou, vous ne participeriez pas à ce genre d'horreur sinon pour me railler n'est-ce pas?)
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Pratique latrine venue directement de l’arôme antique, l’auto-irrumation est une pratique dissidente, souvent qualifié d'acte de résistance paradoxal, défendue par les timides, auto-dépréciateurs et autres troublés de la personnalité limites. Elle consiste à se faire fermer sa gueule soi-même en s’introduisant soudainement un pénis, le sien propre si la praticien en est doué ou celui d’un autre s’il en est privé, dans la gorge en un mouvement de va et vient souvent douloureux.
Pratique latrine venue directement de l’arôme antique, l’auto-irrumation est une pratique dissidente, souvent qualifié d'acte de résistance paradoxal, défendue par les timides, auto-dépréciateurs et autres troublés de la personnalité limites. Elle consiste à se faire fermer sa gueule soi-même en s’introduisant soudainement un pénis, le sien propre si le praticien en est doué ou celui d’un autre s’il en est privé, dans la gorge en un mouvement de va et vient souvent douloureux.


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Version du 10 juillet 2015 à 16:37

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Pratique latrine venue directement de l’arôme antique, l’auto-irrumation est une pratique dissidente, souvent qualifié d'acte de résistance paradoxal, défendue par les timides, auto-dépréciateurs et autres troublés de la personnalité limites. Elle consiste à se faire fermer sa gueule soi-même en s’introduisant soudainement un pénis, le sien propre si le praticien en est doué ou celui d’un autre s’il en est privé, dans la gorge en un mouvement de va et vient souvent douloureux.



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Selon un récent rapport de l'OTAN, l'auto-irrumation, malgré son fondement strictement méditerranéen, reste encore aujourd'hui le
moyen d'expression privilégié des anciennes colonies européennes.