Hollywood's Porno Soft Entertainment

D'ArdKorPedia
Révision datée du 29 juin 2017 à 09:47 par BobArdKor (discussion | contributions) (Remplacement de texte — « http://ardkor.info/ » par « https://ardkor.info/ »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

Firme publique de production de flims pornographiques éducatifs, familiaux ou grand public, HPSE a été créée en 1964 par Rooston Svelte, alors Directeur Général d'Etats-Unis Incorporated, dans le cadre d'une mission de service publique visant à encourager et maintenir (support and maintain) la communication au sein des familles (the communication inside Family, inc.). Dans les années qui suivirent, la firme lança même une chaine de télévision sur le canal, réquisitionné pour l'occasion, de Tox News. Par la suite, Hollywood Porno Soft Entertanment devait réquisitionner de nombreux autres canaux, de types et de genres divers, pour le plaisir des petits et des grands.


Un programme-phare : CILF Catcher

Parmi les nombreux programmes proposés par la chaine, une série, plus tard adaptée en reality show puis en saga cinématographique, fit les beaux jours de HPSE et assura la pérennité de ses activités, produits dérivés et ventes d'enfants compris : CILF Catcher (CILF signifiant Children I'd Like to Fuck, sur le modèle des MILF, Mothers I'd Like to Fuck). Les multiples déclinaisons de ce tv concept partaient toujours d'une situation identique, qui incarnait le fantasme le plus refoulé et le mieux réprimé : un jeune enfant caucasien abandonné sur la route 66 en état de déshydratation avancé se faisait prendre en stop puis en levrette pas une bande de méchants artistes nègres et porto-ricains déguisés en sapins de Noël. Ces minorités visibles aux rôles de sympathiques bizuteurs devaient bientôt être remplacés par de pieux barbus à la peau hâlée, au verbe empreint d'une exaltation toute orientale et dont l'imagination sexuelle héritée du Kamasûtra évitait aux scénaristes de gaspiller leur temps inutilement. Toujours prompts à se distraire d'une retraite carcérale sans doute un brin lassante et manquant de piment, les détenus de Guantanamo se portèrent volontaires pour incarner ces rôles de malfrats exotiques aux manières un peu rudes.


Abou_Ghraib_2.jpg
A la fin de l'épisode, l'enfant violé finit toujours par humilier son bourreau. La morale est sauve.

La petit-chien-mortophilie, un no-return concept

...