Bob ArdKor
En lituanien, BobArdkor signifie Petit tournevis cruciforme.
BobArdKor est dangereux, très dangereux, c'est pourquoi Antoine Hummel le résumait ainsi : "Il faut tout d'abord savoir que BobArdKor est un individu n'ayant rien compris à la question "Que fais-je sur terre?", en effet, tout les matins dans son lit, au lieu, comme touts les individus normalement constitué de contempler sa verge en érection dans un ultime effort de surpassement de soi et de compréhension de l'univers, Bob se penche très légèrement vers son instrument pour s'autosatisfaire, lentement mais sûrement. Bob est ce que j'appele un autosexuel, le comportement décrit dans sa phase d'éveil se répercute sur son corps et son psychisme à chaque instant de sa vie. Cependant, Bob tomba un jour amoureux, ce fut là sa seule et unique voie vers l'amour de soi et l'acceptation de la vie sur terre (jusque là c'est un comportement tout à fait normal pour un autiste), mais chez Bob, l'invesstissement libidinal nécessaire à sa survie pris comme objet un être humain du même sexe que lui, c'est ce que l'on appelle l'homosexualité, variante gay de l'homosextualité, tache noble à laquelle Bob essaye en vain de s'attacher pour refouler son motif homosexuel, qui prime dans la chronologie cyclique journalière de son existence. En gros : toute la nuit Bob s'autosuce inconsciemment, le matin il conscientise ses pulsions, de midi à minuit il chie sur le monde, et quand il se couche il s'endort en voyant une bitte qu'il ne trouve pas et qu'il va chercher en lui, et ainsi de suite... Voilà pour moi une ébauche risible par approche procédurale cyclique du système BobArdkor".
Légendes urbaines
Selon certains mythes, BobArdKor existerait vraiment.
Questions relatives à BobArdKor sur ardkor::answers
Ce programme dont il est question aurait été publié sous sa forme bêta truffée de bogues qu'on n'a jamais réussi à corriger le 29 janvier de l'année 1982. Cette journée est également le jour où les Svinkels mangent traditionnellement de la tarteflure sans qu'on puisse en avoir rien à foutre de la raison pourquoi c'est tombé le même jour.