Louis-Ferdinand Céline-Dion
Louis-Ferdinand Céline-Dion (1939-1945), fruit d'une idylle peu ragoûtante entre une femelle de la famille des kéribous canadiens et la XIVeme Panzerdivision, écrivit quelques obscurs fascicules de conchyliculture et pogroms comparés (Notamment le trop fameux 'Génocidons les huîtres', 1941 ou encore 'Fromage au bout de ma bite' 1943,6).
Lorsqu'on s'appelle Louis-Ferdinand, on a le droit de tout écrire. En effet, Louis-Ferdinand est un prénom rare et laid, et il faut avoir pitié des minorités (Quoiqu'il ne le reconnût jamais, Loulou-féfé, comme l'appelait affectueusement sa vieille môman, était mal-nommé, noir, borgne, et juif). C'est pourquoi le petit Louis-Ferdinand se répandit en ânonnages baveux durant de bien trop longues années sans que personne n'osât lui baffer le claque-merde.
Ignorant que ce qu'il éructait n'était pas de la littérature , il mourut seul, aigri, et plus laid encore que son propre prénom.
Louis-Ferdinand Céline Grayve
Nom du fan club de Louis-Ferdinand Céline-Dion dirigé par Grayve