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Le Schmilblick, il faut le dire, est une invention des frères Fauderche, eux-même inventés par Pierre Dac. Pour vous aider à mieux comprendre de quoi il s'agit, voici l'explication qu'il en donnait :
" Le Schmilblick des frères Fauderche est, il convient de le souligner, rigoureusement intégral, c'est-à-dire qu'il peut à la fois servir de Schmilblick d'intérieur, grâce à la taille réduite de ses gorgomoches, et de Schmilblick de campagne grâce à sa mostoblase et à ses deux glotosifres qui lui permettent ainsi d'urnapouiller les istioplocks même par les plus basses températures.
Ça c'est clair, jusque là ! […]
Il est toutefois permis de se poser la question suivante : certes, le schmilblick est un merveilleux appareil, dont l'admirable degré de perfection ne saurait être révoqué en douce, mais en dépit de tout cela, en bref, au juste et en définitive, à quoi sert-il ? Pour pertinente qu'elle soit, cette question ne comporte pas de réponse. Car le grand, l'immense mérite, des deux illustres savants qui sont les frères Fauderche, réside principalement dans leur magnifique esprit de désintéressement, puisque faisant uniquement de la science pour la science, comme d'autres font de l'Art pour l'Art, ils n'ont jamais et à aucun moment, envisagé le côté bassement utilitaire de leur généreuse et gratuite invention "
ÇA, C' EST FAIT
En ce qui concerne lapersonne, si nous partons du principe qu'il s'agisse bel et bien d'un umain, elle a cela de commun avec le Schmilblick qu'elle ne sert strictement à rien. Née un jour quelque part, Schmilblick a grandi avec les vers luisants après avoir tué son père comme le prédisait l'éminent Freud (connu dans le milieu sous le sobriquet de Saucisse de Freiberg). A l'âge de 12 ans, sa famille adoptive la rejeta en s'apercevant qu'elle ne brillait pas dans le noir et qu'ils s'étaient fait pigeonnés. Désormais sans lumière pour se repérer dans la nuit, elle se brisa trois jambes et se fractura un cheveu, avant de trouver refuge chez des concombres mutants. Comme être vert n'a jamais empêché quiconque d'être charmant, elle passa d'heureux jours en leur compagnie. Malheureusement les cucurbitacées étaient fans de Christophe Maé (c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît), et la tolérance de Schmilblick avait ses limites.
Un soir ses tympans explosèrent et elle s'en alla vers la ville, où elle connue une brillante carrière de porte-manteaux.
C O N C O M B R E M U T A N T R O U G E D E C O L E R E
Cet article est sponsorisé par l'homophone "ver"