« Le vieil homme et la merde » : différence entre les versions
(→Notes) |
|||
Ligne 12 : | Ligne 12 : | ||
== Notes == | == Notes == | ||
Notons le suicide cocasse d'Hemingay à la fin de la rédaction du roman, qui s'est retenu de chier jusqu'à l'explosion. | Notons le suicide cocasse d'Hemingay à la fin de la rédaction du roman, qui s'est retenu de chier jusqu'à l'explosion de son intestin grèle. | ||
"Chaque jour, la beauté du monde m'éclabousse le faciès comme une fiente de pigeon" (citation) | "Chaque jour, la beauté du monde m'éclabousse le faciès comme une fiente de pigeon" (citation) | ||
L'ouvrage a été traduit en [[néo-québécois]] sous le titre "le vieil homme et la marde". | L'ouvrage a été traduit en [[néo-québécois]] sous le titre "le vieil homme et la marde". |
Version du 14 octobre 2009 à 11:19
Le Vieil Homme et la Merde est un roman écrit par Ernest Hemingay. Il rédiga l'ouvrage lors de sa dépression suite à l'arrestation de son amant, Philippe Risoli, par la police de l'espace.
Désabusé par la vie et les atrocités de la guerre, ainsi que par la frustration sexuelle, Risoli narre dans son livre les difficultés qu'un homme à a surmonter pour traverser cet océan bouseux qu'est la vie.
Synopsis
(spoiler)
Un vieil homme qu'on accuse d'avoir perdu sa chance décide de défier l'océan pour essayer de ne rien prouver du tout. Il part trop loin et chie dans son froc faute de revenir à temps. Tout le monde se moque de lui et il devient opiomane.
Notes
Notons le suicide cocasse d'Hemingay à la fin de la rédaction du roman, qui s'est retenu de chier jusqu'à l'explosion de son intestin grèle.
"Chaque jour, la beauté du monde m'éclabousse le faciès comme une fiente de pigeon" (citation)
L'ouvrage a été traduit en néo-québécois sous le titre "le vieil homme et la marde".