« Mérou » : différence entre les versions
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mAucun résumé des modifications |
(déplacement de l'insondable mystère de LA MORT vers Pyschologie du mérou) |
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Il se reproduit de temps � autres. Mais � la fin de sa vie, il peut arriver que le m�rou d�c�de. Il est alors au moins malais� de tenter une r�surrection dudit m�rou, cette op�ration �tant g�n�ralement infructueuse ; � notre grand dam. | Il se reproduit de temps � autres. Mais � la fin de sa vie, il peut arriver que le m�rou d�c�de. Il est alors au moins malais� de tenter une r�surrection dudit m�rou, cette op�ration �tant g�n�ralement infructueuse ; � notre grand dam. | ||
Les m�roulogues crurent pendant une longue p�riode que les chiens �taient des sortes de m�rous. Il s'av�ra que non, que le seul le m�rou �tait un m�rou et que les chiens �taient des animaux de compagnie, preuve irr�futable que le m�rou n'est pas un chien, m�me d�guis�. Le m�rou n'a pas non plus d'anc�tres communs avec le chien. Aujourd'hui, affirmer consciemment que le chien est une sorte de m�rou, ou �mettre un doute sur les d�ductions pr�c�dentes, est passible de reconduite � la fronti�re. | Les m�roulogues crurent pendant une longue p�riode que les chiens �taient des sortes de m�rous. Il s'av�ra que non, que le seul le m�rou �tait un m�rou et que les chiens �taient des animaux de compagnie, preuve irr�futable que le m�rou n'est pas un chien, m�me d�guis�. Le m�rou n'a pas non plus d'anc�tres communs avec le chien. Aujourd'hui, affirmer consciemment que le chien est une sorte de m�rou, ou �mettre un doute sur les d�ductions pr�c�dentes, est passible de reconduite � la fronti�re. | ||
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Parfois, le m�rou pense � des tas de machins. Enfin on suppose. Par ailleurs, il est �galement tr�s rare de constater des m�rous sous suivi psychiatrique (en [[2004]], moins de 1% des cas recens�s en psychiatrie en France �taient des m�rous av�r�s - source : [[M�decins Sans Famille|MSF]]). | Parfois, le m�rou pense � des tas de machins. Enfin on suppose. Par ailleurs, il est �galement tr�s rare de constater des m�rous sous suivi psychiatrique (en [[2004]], moins de 1% des cas recens�s en psychiatrie en France �taient des m�rous av�r�s - source : [[M�decins Sans Famille|MSF]]). | ||
On peut, sans prendre de risque dmesur, envisager que, si les mrous sont croyants (et le contraire n'est pas prouv), ce qu'il faudrait alors appeler leur "religion mrou" invente sans doute des solutions imaginaires au problme de [[la mort]], qui n'est vraisemblablement pas rien non plus pour les mrous raisonnables : ils prendraient donc conscience jour aprs jour, heure de travail aprs heure de travail, que leur vie leur chappe et les emporte inexorablement. La mort, chez les mrous, serait alors inltropoltrablement un problme. | |||
Le m�rou adopte fr�quement, et ce d�s son plus jeune �ge, une attitude normale - attitude dite du "m�rou ordinaire" ; il se peut cependant qu'un m�rou soit bless�, ou amput�, alors on dit dans le jargon m�roulogique, que "sa d�marche est modifi�e". On peut �galement dire que "son attitude g�n�rale n'est plus tout � fait celle d'un m�rou ordinaire", comme l'a judicieusement fait remarquer [[le Professeur Professeur]], [[expert]] dentiste-m�roulogue. | Le m�rou adopte fr�quement, et ce d�s son plus jeune �ge, une attitude normale - attitude dite du "m�rou ordinaire" ; il se peut cependant qu'un m�rou soit bless�, ou amput�, alors on dit dans le jargon m�roulogique, que "sa d�marche est modifi�e". On peut �galement dire que "son attitude g�n�rale n'est plus tout � fait celle d'un m�rou ordinaire", comme l'a judicieusement fait remarquer [[le Professeur Professeur]], [[expert]] dentiste-m�roulogue. |