« Maurice Paponce-Pilate » : différence entre les versions
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Version du 3 octobre 2007 à 03:14
Célèbre délateur, fan frustré de Jesus de Bite. Parfois confondu avec Boris Quinconce "Pirate", égérie des matelots pinés-haut de la Tare-Académie III, Maurice est le premier représentant du genre Homo-Sapin. Sa salopette de mécano qui pue du cul est en fait sa peau. Bouh, le vilain.
Maurice Paponce-Pilate en plein spectale de statue vivante, non loin de la fontaine du Chapelet.
Faits marquants
0 : Naissance de Maurice dans un trou de MontCuq.
10 : dix ans plus tard.
20 : dix ans plus tard.
30 : dix ans plus tard.
40 : dix ans plus tard.
50 : dix ans plus tard.
60 : dix ans plus tard.
70 : Disparition de Maurice. Dans sa niche il prononcera ces derniers mots : "je m'en bave les reins, tas de ch'ti poliomyélites.", d'où l'expression.
71 : Réapparition furtive de Maurice au cours d'une soirée revival Stooges.
71, 2e jour : Puis redisparition après une orgie de raisins-sec/cahuettes/pina-colada/dirty-martini au macumba.
Septente-deux : invasion de la Belgie par les Frites.
63 : dix ans plus tard.
Nota Bene
Maurice Paponce-Pilate n'est pas la tante de Mario Brosse, ni son furoncle.