« Anglais » : différence entre les versions

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== Pourquoi? ==
== Pourquoi? ==


Au commencement il n'�tait rien, et comme nous le savons tous, la nature a horreur du vide, or la nature n'existait pas, et donc, le [[concept]] d'horreur ainsi que celui de vide qui en d�pendaient n'�taient pas beaucoup plus concrets. Sentant l'importance d'un tel [[bordel]] [[m�taphysique]], [[Babar]] d�cida de s'auto cr�er afin de passer le [[temps]]. L'univers avait une petite chance d'exister d�s ce moment pr�cis, qu'on pourrait situer � environ deux caisses de rhum avant le big bang. L'entit� divine auto suffisante g�n�ra alors sur un coup de t�te ce que nous appelons aujourd'hui notre r�alit�, qui nous para�t aussi commun qu'un quelconque t�l�phone portable qui ne ferait m�me pas appareil photo. La mati�re avait � pr�sent une forme, mais la forme globale de l'univers, semblable � une [[banane]], manquait quelque peu de panache. Il manquait sans le moindre doute quelque chose, le petit plus qui diff�rencie un univers tout pourri d'une foultitude de n�buleuses de milliards de putains de galaxies aussi p�tantes de vie qu'un open bar dans un pub irlandais au coeur de l'[[hiver]]. N'ayant rien de mieux � [[foutre]], Babar se mit � plancher sur le concept de [[vie]]. De nombreux godets de d�tergeant plus tard, on y voyait d�j� plus clair, la lumi�re fut invent�e.
Au commencement il n'�tait [[rien]], et comme nous le savons tous, la [[nature]] a horreur du [[vide]], or la nature n'existait pas, et donc, le [[concept]] d'horreur ainsi que celui de vide qui en d�pendaient n'�taient pas beaucoup plus concrets. Sentant l'importance d'un tel [[bordel]] [[m�taphysique]], [[Babar]] d�cida de s'auto-cr�er afin de passer le [[temps]]. L'univers avait une petite chance d'exister d�s ce moment pr�cis, qu'on pourrait situer � environ deux caisses de rhum avant le [[Big Bang]].  
 
L'entit� divine auto-suffisante g�n�ra alors sur un coup de t�te ce que nous appelons aujourd'hui notre r�alit�, qui nous para�t aussi commun qu'un quelconque [[Logo de portable|t�l�phone portable]] qui ne ferait m�me pas appareil photo. La mati�re avait � pr�sent une forme, mais la forme globale de l'univers, semblable � une [[banane]], manquait quelque peu de panache.  
 
Il manquait sans le moindre doute quelque chose, le petit ''plus'' qui diff�rencie un univers tout pourri d'une foultitude de n�buleuses de milliards de putains de galaxies aussi p�tantes de vie qu'un open bar dans un pub irlandais au coeur de l'[[hiver]]. N'ayant rien de mieux � [[foutre]], Babar se mit � plancher sur le concept de [[vie]]. De nombreux godets de d�tergeant plus tard, on y voyait d�j� plus clair, la lumi�re fut invent�e.


== Comme le saucisson ==
== Comme le saucisson ==


Le dieu �l�phantin ne s'arr�ta pas en si bon chemin et fit breveter son prototype "d'�tre vivant de type unicellulaire", en r�alit� un simple corn flakes habilement camoufl�. Puis vinrent des �tres vivants de plus en plus complexes, mais toujours pas de trace des �tres humains, et encore moins des anglais. C'est au cours d'une de ses bitures � la charcuterie que le seigneur trouva la voie dans son infinie [[sagesse]]. Comme le [[saucisson]], le chef d'oeuvre de [[Dieu]] devrait �tre le r�sultat d'un affinage extr�mement pointu. Partir de la chair � [[saucisse]] pour obtenir le nectar de la viande sur pattes. Le projet Andros fut lanc� mais n'aboutit qu'� de la compote dans l'hyper espace. Ne s'avouant pas vaincu, Babar reporta son attention sur un projet d�laiss� car consid�r� comme "trop merdique", le prototype [[Adam]]. Succ�s innatendu, Adam donna naissance � une suite, Eve, non pas dans l'optique d'un multiplication exponentielle des specimens, mais parce que les traces de [[sperme]] s�ch� des masturbations fr�n�tiques d'un Adam quelque peu en proie � la solitude commen�aient � faire un peu tache dans le jardin d'Eden tout neuf. Une fois la premi�re �tape franchie, Dieu envoya ses cr�ations sur terre, juste pour [[rire]]. La machine �tait lanc�e et rien ne pourrait plus l'arr�ter.
Le dieu �l�phantin ne s'arr�ta pas en si bon chemin et fit breveter son prototype "d'�tre vivant de type unicellulaire" - en r�alit� un simple corn flakes habilement camoufl�. Puis vinrent des �tres vivants de plus en plus complexes, mais toujours pas de trace des �tres humains, et encore moins des anglais.  
 
C'est au cours d'une de ses bitures � la charcuterie que le seigneur trouva la voie dans son infinie [[sagesse]]. Comme le [[saucisson]], le chef d'oeuvre de [[Dieu]] devrait �tre le r�sultat d'un affinage extr�mement pointu. Partir de la chair � [[saucisse]] pour obtenir le nectar de la viande sur pattes. Le projet Andros fut lanc� mais n'aboutit qu'� de la compote dans l'[[hyperespace]]. Ne s'avouant pas vaincu, Babar reporta son attention sur un projet d�laiss� car consid�r� comme "trop merdique", le prototype [[Adam]]. Le succ�s inattendu remport� par Adam donna finalement naissance � une suite, Eve, non pas dans l'optique d'un multiplication exponentielle des sp�cimens, mais parce que les traces de [[sperme]] s�ch� des masturbations fr�n�tiques d'un Adam quelque peu en proie � la solitude commen�aient � faire un peu tache dans le jardin d'Eden tout neuf.  
 
Une fois la premi�re �tape franchie, Dieu envoya ses cr�ations sur terre, juste pour [[rire]]. La machine �tait lanc�e et rien ne pourrait plus l'arr�ter.


== De la merde � la poussi�re ==
== De la merde � la poussi�re ==


Les [[enfants]] de Babar se multipli�rent donc, colonisant toute la surface du globe, s'adaptant � tous les milieux. Seul une �le, inhospitali�re et crade o� il pleut tout le temps restait inhabit�e. Pendant ce temps, faute de mieux, les fr�res et soeurs du monde se foutaient sur la gueule. Histoire de passer le temps. Jusqu'� la mythique bataille de la macedoine de l�gumes, au cours de laquelle le sol fut si brutalement ravag� que la seule chose qui repoussa fut de la [[merde]], et � l'issu de laquelle les perdants furent punis � l'exil sur la petite �le cradingue dont personne ne voulait. Les anglais �taient n�s.
Les [[enfants]] de Babar se multipli�rent donc, colonisant toute la surface du globe, s'adaptant � tous les milieux. Seule une �le, inhospitali�re, crade, et o� il pleuvait tout le temps restait inhabit�e. Pendant ce temps, faute de mieux, les fr�res et soeurs du monde se foutaient sur la gueule. Histoire de passer le temps. Jusqu'� la mythique [[Bataille de la Mac�doine de L�gumes]], au cours de laquelle le sol fut si brutalement ravag� que la seule chose qui repoussa fut de la [[merde]], et � l'issue de laquelle les perdants furent punis � l'exil sur la petite �le cradingue dont personne ne voulait. Les Anglais �taient n�s.


== La revanche des bannis ==
== La revanche des bannis ==


Comme ils n'avaient rien d'autre � branler, m�t�o pourrie oblige, les anglais se mirent � cr��r des groupes de rock. Ils devinrent tellement bons que tout le monde se mit � parler anglais et � se foutre de la gueule des bavarois, ce qui �tait assez m�rit� quand on y pense. Mais la reconnaissance ne suffisait pas, seule la vengeance apaiserait les enfant de la perfide Albion (vient du fran�ais: "le p�re vide moi le fion", vers po�tique hideusement d�form� par la prononciation d�faillante des anglais cons�cutive � l'�tat pitoyable de leur dentition), dont la virtuosit� en mati�re de [[musique]] de [[djeunz]] rebelles n'�tait en r�alit� que la premi�re partie d'un plan machiav�lique. Il se mirent donc en t�te de cuisiner de la bouffe d�gueulasse et de la faire go�ter au monde entier en se servant de la notori�t� de leurs super stars musicales. Heureusement les Beattles trouv�rent tous plus ou moins la [[mort]] ou la retraite et personne n'eu � se taper de boeuf bouilli dans sa sauce � la menthe.
Comme ils n'avaient rien d'autre � branler, m�t�o pourrie oblige, les anglais se mirent � cr��r des groupes de rock. Ils devinrent tellement bons que tout le monde se mit � parler anglais et � se foutre de la gueule des bavarois, ce qui �tait assez m�rit� quand on y pense.  
 
Mais la reconnaissance ne suffisait pas, seule la vengeance apaiserait les enfants de la perfide Albion (vient du fran�ais: "le p�re vide moi le fion", vers po�tique hideusement d�form� par la prononciation d�faillante des anglais cons�cutive � l'�tat g�n�ralement pitoyable de leur dentition), dont la virtuosit� en mati�re de [[musique]] de [[djeunz]] rebelles n'�tait en r�alit� que la premi�re partie d'un plan machiav�lique.  
 
Ils se mirent donc en t�te de cuisiner de la bouffe d�gueulasse et de la faire go�ter au monde entier en se servant de la notori�t� de leurs super stars musicales. Heureusement les [[Beatles]] trouv�rent tous plus ou moins la [[mort]] ou la retraite et personne n'eu � se taper de boeuf bouilli dans sa sauce � la menthe.




== Divers ==
== Le saviez-tu ? ==


Quelques petites choses � savoir sur nos cousins d'outre Manche
Quelques petites choses � savoir sur nos cousins d'outre-Manche


1. les anglais tirent un coup UNIQUEMENT pour se reproduire
*les anglais tirent un coup UNIQUEMENT pour se reproduire


2. le [[culte]] pr�dominant dans le pays est la [[religion]] Jedi mod�r�e orthodoxe de l'Eglise anglicane de Montargis
* le [[culte]] pr�dominant dans le pays est la [[religion]] Jedi mod�r�e orthodoxe de l'Eglise anglicane de Montargis


3. la langue du pays est l'am�ricain
* la langue du pays est l'am�ricain


4. les [[pandas]] sont interdits de sejour � [[Londres]]
* les [[pandas]] sont interdits de sejour � [[Londres]]


5. la reine [[m�re]] �tait �g�e de 62 ans � sa naissance
* la reine [[m�re]] �tait �g�e de 62 ans � sa naissance


6. la peine de mort par after eight a �t� abolie en [[1879]]
* la peine de mort par After Right a �t� abolie en [[1879]]


7. la coiffe des garde de Buckingham Palace est faite de [[poils]] de Lady Disait 100% naturels
* la coiffe des garde de Buckingham Palace est faite de [[poils]] de Lady Disait 100% naturels

Version du 3 septembre 2006 à 18:26