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" C'était un jour d'automne comme il s'en faisait parfois, ainsi rien ne laissait présager du drame. Je me rendais sur la place attenante au Musée d'Art Moderne de la Chouquette pour rejoindre mon oncle qui là bas organisait des | " C'était un jour d'automne comme il s'en faisait parfois, ainsi rien ne laissait présager du drame. Je me rendais sur la place attenante au Musée d'Art Moderne de la Chouquette pour rejoindre mon oncle qui là bas organisait des parties de Jokari avec quelques amis. Passant devant ledit [[musée]] je vis un groupe d'individus louches qui s'avançaient d'un pas décidé en brandissant fourches et bâtons. Je crus d'abord à une énième révolte paysanne et attendais avec enthousiasme que tous ces [[dégénéré]]s qui n'ont même pas l'eau courante ni même [[le Internet]] se fassent exterminer. Mais, Klaus Bambi, car c'était bien lui, aspergea sans crier gare le Musée de sirop d'érable et essaya d'y mettre le feu." | ||
Audace vaine, cependant, dans laquelle il se trouvera englué puis asphyxié. Évacué par des officiers de santé, il tombe dans un coma sucré duquel il ne sortira jamais. | Audace vaine, cependant, dans laquelle il se trouvera englué puis asphyxié. Évacué par des officiers de santé, il tombe dans un coma sucré duquel il ne sortira jamais. | ||
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Version du 6 septembre 2012 à 14:45
Chef d'un groupuscule néo-forestier, né en l'an de grâce 1964.
De père inconnu et de mère consentante, Klaus Bambi passe les premières années de sa vie. Ce n'est qu'après cette enfance dorée qu'un subit retournement de situation intervient. Devenu chauve au collège, sa scolarité en est fortement perturbée au point qu'il tombe dans l'escalier du bâtiment B près de là où y'a le panier de basket. Cet incident le poussera à réfléchir sur le sens de la vie (la Vraie Vie). Réflexion qu'il mènera à son terme en fondant un groupe armé révolutionnaire aux tendances agressives et arboricoles. Un coup d'éclat remarquable surviendra le 21 juin 1976, lors de l'avant dernière Fête de la Musique. En effet, avec ses co-religionnaires, il entreprit de prendre d'assaut le Musée d'Art Moderne de la Chouquette. Ce fantastique putsch sera relaté l'année suivante par l'écrivain et réalisateur de choses Franz Quatre-Quart.
Il le décrit en ses termes :
" C'était un jour d'automne comme il s'en faisait parfois, ainsi rien ne laissait présager du drame. Je me rendais sur la place attenante au Musée d'Art Moderne de la Chouquette pour rejoindre mon oncle qui là bas organisait des parties de Jokari avec quelques amis. Passant devant ledit musée je vis un groupe d'individus louches qui s'avançaient d'un pas décidé en brandissant fourches et bâtons. Je crus d'abord à une énième révolte paysanne et attendais avec enthousiasme que tous ces dégénérés qui n'ont même pas l'eau courante ni même le Internet se fassent exterminer. Mais, Klaus Bambi, car c'était bien lui, aspergea sans crier gare le Musée de sirop d'érable et essaya d'y mettre le feu."
Audace vaine, cependant, dans laquelle il se trouvera englué puis asphyxié. Évacué par des officiers de santé, il tombe dans un coma sucré duquel il ne sortira jamais.