« Nigga-sioniste » : différence entre les versions
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* c'est pas qu'il aime pas les juifs mais bon partout où ils vont ils foutent la [[merde]] aussi | |||
Le premier nigga-sioniste à s'être fait connaître du grand-public est [[Dieu]], puis [[Dieudonné]]. | |||
En général, le nigga-sioniste s'est fait traité dans son pays de "bon [[noirs|noir]]", de "bon immigré", de "mauvais noir" et alternativement de "mauvais immigré". A l'école de la considération, il a donc logiquement appris à reprendre les distinctions courageuses de Goebbels entre "bon juif" et "mauvais juif", puis entre "bonnes thèses révisionnistes" et "mauvaises thèses révisionnistes". Bref, c'est un homme qui aime les faits, parfois même précis, et les hommes, parfois même circoncis. | |||
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Ici, un Nigga-Sioniste consensuel. |
Version actuelle datée du 5 septembre 2012 à 12:21
Un nigga-sioniste est une sorte de rémanence fasciste soft se caractérisant en deux points parce qu'après ça devient lassant :
- il est qui il est, en est fier, et compte bien le rester, conformément à la direct'Yves Rocher ("être soi-même", alinéa 2)
- c'est pas qu'il aime pas les juifs mais bon partout où ils vont ils foutent la merde aussi
Le premier nigga-sioniste à s'être fait connaître du grand-public est Dieu, puis Dieudonné.
En général, le nigga-sioniste s'est fait traité dans son pays de "bon noir", de "bon immigré", de "mauvais noir" et alternativement de "mauvais immigré". A l'école de la considération, il a donc logiquement appris à reprendre les distinctions courageuses de Goebbels entre "bon juif" et "mauvais juif", puis entre "bonnes thèses révisionnistes" et "mauvaises thèses révisionnistes". Bref, c'est un homme qui aime les faits, parfois même précis, et les hommes, parfois même circoncis.
Ici, un Nigga-Sioniste consensuel.