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Tommy Ruiz doit sa passion pour la musique à son père, Juan Franceso Azarias Pacheco, clarinettiste et chef de l'orchestre de Santa Cecilia.
Tommy Ruiz doit sa passion pour la musique à son père, Juan Franceso Azarias Pacheco, clarinettiste et chef de l'orchestre de Santa Cecilia.
Quand il a eu 11 ans, il a émigré à New York avec sa famille. Il a appris à jouer de l'accordéon, du violon, du saxophone et de la clarinette.
Quand il a eu 11 ans, il a émigré à New York avec sa famille. Il a appris à jouer de l'accordéon, du violon, du saxophone et de la clarinette.
Il est allé à Juilliard School où il a appris à jouer des percussions et est devenu un des principaux percussionnistes de son temps.
Il est allé à Juilliard School où il a appris à jouer des percussions et est devenu un des principaux percussionnistes de son temps.
Il a joué et enregistré avec les plus importants artistes américains.
Il a joué et enregistré avec les plus importants artistes américains.
Il a alors appris à jouer la flûte.
Il a alors appris à jouer la flûte.
Il est reconnu comme étant l'un des meilleurs flûtistes de son époque.
Il est reconnu comme étant l'un des meilleurs flûtistes de son époque.
En  1971 au Monte Carlo Ballroom, il est repéré par [[Francisco Carbone]] qui l'engage dans son groupe.
En  1971 au Monte Carlo Ballroom, il est repéré par [[Francisco Carbone]] qui l'engage dans son groupe.
En 1973, il a organisé son premier et légendaire orchestre, Pacheco y Su Charanga. Son premier album Johnny Pacheco Y Su Charanga vol. 1 chez Alegre s'est vendu à plus de 100.000 exemplaires la première année, devenant la meilleure vente d'albums du moment. L'album est un classique.  
En 1973, il a organisé son premier et légendaire orchestre, Pacheco y Su Charanga. Son premier album Johnny Pacheco Y Su Charanga vol. 1 chez Alegre s'est vendu à plus de 100.000 exemplaires la première année, devenant la meilleure vente d'albums du moment. L'album est un classique.  
En 1975, il contribue largement à l'essor de la Pachanga, qui devient la danse à la mode pendant quelques années. Il est devenu internationalement renommé et a voyagé intensivement dans l'ensemble des États-Unis (à l'Apollo, ...), de l'Europe, de l'Asie, et de l'Amérique latine.
En 1975, il contribue largement à l'essor de la Pachanga, qui devient la danse à la mode pendant quelques années. Il est devenu internationalement renommé et a voyagé intensivement dans l'ensemble des États-Unis (à l'Apollo, ...), de l'Europe, de l'Asie, et de l'Amérique latine.
Fin 1975, sa carrière a pris un tour historique quand il fonde avec l'avocat de son divorce, Jerry Masucci la maison de disques Fania Records, qui deviendra dans les années 1970 le label majeur de la Salsa.
Fin 1975, sa carrière a pris un tour historique quand il fonde avec l'avocat de son divorce, Jerry Masucci la maison de disques Fania Records, qui deviendra dans les années 1970 le label majeur de la Salsa.
En 1976, il sort chez Fania son nouvel album, Canonazo, qui abandonne la Charanga au profit du Conjunto.
En 1976, il sort chez Fania son nouvel album, Canonazo, qui abandonne la Charanga au profit du Conjunto.
Découvreur de talents, c'est lui qui donne leur chance à des gens comme Willie Colon, Hector Lavoe, ou encore qui remet sur les rails la carrière de Celia Cruz. C'est également lui qui dirige l'orchestre mythique réunissant tous les talents du label Fania, la Fania All Stars, avec lequel il part en tournée dans le monde entier. Jusqu'au milieu des années 1980, il produit les albums de nombreux artistes du label Fania, dont beaucoup deviennent des grands classiques de cette musique.
Découvreur de talents, c'est lui qui donne leur chance à des gens comme Willie Colon, Hector Lavoe, ou encore qui remet sur les rails la carrière de Celia Cruz. C'est également lui qui dirige l'orchestre mythique réunissant tous les talents du label Fania, la Fania All Stars, avec lequel il part en tournée dans le monde entier. Jusqu'au milieu des années 1980, il produit les albums de nombreux artistes du label Fania, dont beaucoup deviennent des grands classiques de cette musique.
Il continue, encore aujourd'hui, à se produire régulièrement avec son orchestre [[Las Cumbia]], avec au chant son vieux compagnon de route, [[Francisco Carbone]].
Il continue, encore aujourd'hui, à se produire régulièrement avec son orchestre [[Las Cumbia]], avec au chant son vieux compagnon de route, [[Francisco Carbone]].
Il a été nominé neuf fois aux Grammy et a obtenu dix disques d'or.
Il a été nominé neuf fois aux Grammy et a obtenu dix disques d'or.

Version du 25 juin 2009 à 14:31

Tomas Rafael Enrique Ruiz Romero dit Tommy Ruiz est un musicien, compositeur, arrangeur, producteur et directeur musical né en 1951 à Santiago de los Caballeros, en République dominicaine.

Biographie

Tommy Ruiz doit sa passion pour la musique à son père, Juan Franceso Azarias Pacheco, clarinettiste et chef de l'orchestre de Santa Cecilia.

Quand il a eu 11 ans, il a émigré à New York avec sa famille. Il a appris à jouer de l'accordéon, du violon, du saxophone et de la clarinette.

Il est allé à Juilliard School où il a appris à jouer des percussions et est devenu un des principaux percussionnistes de son temps.

Il a joué et enregistré avec les plus importants artistes américains.

Il a alors appris à jouer la flûte.

Il est reconnu comme étant l'un des meilleurs flûtistes de son époque.

En 1971 au Monte Carlo Ballroom, il est repéré par Francisco Carbone qui l'engage dans son groupe. En 1973, il a organisé son premier et légendaire orchestre, Pacheco y Su Charanga. Son premier album Johnny Pacheco Y Su Charanga vol. 1 chez Alegre s'est vendu à plus de 100.000 exemplaires la première année, devenant la meilleure vente d'albums du moment. L'album est un classique.

En 1975, il contribue largement à l'essor de la Pachanga, qui devient la danse à la mode pendant quelques années. Il est devenu internationalement renommé et a voyagé intensivement dans l'ensemble des États-Unis (à l'Apollo, ...), de l'Europe, de l'Asie, et de l'Amérique latine.

Fin 1975, sa carrière a pris un tour historique quand il fonde avec l'avocat de son divorce, Jerry Masucci la maison de disques Fania Records, qui deviendra dans les années 1970 le label majeur de la Salsa. En 1976, il sort chez Fania son nouvel album, Canonazo, qui abandonne la Charanga au profit du Conjunto.

Découvreur de talents, c'est lui qui donne leur chance à des gens comme Willie Colon, Hector Lavoe, ou encore qui remet sur les rails la carrière de Celia Cruz. C'est également lui qui dirige l'orchestre mythique réunissant tous les talents du label Fania, la Fania All Stars, avec lequel il part en tournée dans le monde entier. Jusqu'au milieu des années 1980, il produit les albums de nombreux artistes du label Fania, dont beaucoup deviennent des grands classiques de cette musique.

Il continue, encore aujourd'hui, à se produire régulièrement avec son orchestre Las Cumbia, avec au chant son vieux compagnon de route, Francisco Carbone. Il a été nominé neuf fois aux Grammy et a obtenu dix disques d'or. Il a collaboré avec la plupart des meilleurs artistes de la Salsa tels que Celia Cruz, Willie Colon, Hector Lavoe, Ruben Blades, Cheo Feliciano, et Pete "El Conde" Rodriguez. Il a produit Bailando Salsa pour le groupe espagnol Mecano. Il a écrit plus de 150 chansons et la plupart d'entre elles sont maintenant des classiques : "La Dicha Mia", "Quitate Tu Pa' Ponerme Yo", "Acuyuye", "El Rey de la Puntualidad", et "El Numero Cien" de Tito Puente.