« Lettres Persanes » : différence entre les versions

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Montesquieu est un [[noir]] qui a �crit les lettres persanes au XVIII�me si�cle. Etant donn�e la qualit� de son oeuvre, sa mort son corps a �t� [[empaill�]] pour �tre exhib� durant l'[[Exposition universelle]] de [[1888]]. Par la suite on l'a plac� au [[Mus�e d'Histoire Naturelle]] Paris. Il n'a �t� remis� que r�cemment, car il sentait trop fort malgr� les doses de [[Calvin-Klein]] dont il �tait r�guli�rement asperg�.
Montesquieu est un [[noir]] qui écrivit les lettres persanes au XVIIIème siècle. Compte tenu de la qualité de son oeuvre, il fut décidé à sa mort d'empailler son corps, afin d'être exhibé lors de l'[[Exposition universelle]] de [[1888]], qui rencontra de ce fait un franc succès. Par la suite on le plaça au [[Musée d'Histoire Naturelle]] à Paris, d'ou il ne fut remisé que récemment - sentant trop fort malgré les doses de [[Calvin-Klein]] dont il était régulièrement aspergé.


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On appelle ce texte "lettres persanes" car il fut entièrement rédigé par l'auteur sur des [[tapis persans]], cocasserie qui fait,  encore aujourd'hui, s'esclaffer bien des [[littéraires]]. Il eut un succès immédiat auprès des nobles français, et particulièrement de la Cour du [[Roi]] (ces gens-s'ennuyant beaucoup, à l'époque).  


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Le texte raconte les pérégrinations d'un ''alter ego'' de Montesquieu à travers l'Europe et plus particulièrement en France. A travers ce récit on peut voir un [[satyre]] qui exhibe son gros [[vit]] à la cour. Ainsi la mode d'écraser des [[insectes]] sur le visage de ses amis lors de soirées mondaines est raillée, de même que les modes vestimentaires de l'époque, qui consistaient à porter une chappe de [[fonte]] sous les aisselles. Montesquieu est cependant tiraillé par sa [[foi]] car il croit en [[Allah]] le très haut qui interdit tout contact avec la [[fonte]].  


Les lettres persanes sont donc des [[�crits �pistolaires]] vocation [[satirique]]. Elles d�crivent la Cour du [[Roi]] de France et la [[soci�t� fran�aise]] travers les yeux d'un [[na�f]] [[�tranger]]. Montesquieu pi�ge son lecteur car si celui-ci se moque au d�but de la vision du narrateur, il finit par se reconna�tre dans celui-ci et comprendre le ridicule des [[moeurs]] de son propre pays. Malgr� leurs formes [[archa�ques]] qui n'ont pas la lisibilit� d'un [[Patrick Bruel]], elles montrent que le [[relativisme culturel]] est une posture intenable, et que le [[racisme]] permet une forme d'humour que le relativiste est dans l'incapacit� de saisir. Sur la question de la [[religion]], Montesquieu est beaucoup plus subtil que [[Nicolas Sarkozy]].
Les lettres persanes sont donc des [[écrits épistolaires]] à vocation [[satirique]]. Elles décrivent la Cour du [[Roi]] de [[France]] et la [[société française]] à travers les yeux d'un [[naïf]] [[étranger]]. Il est d'usage de considérer que Montesquieu "piège son lecteur comme une belette tuberculeuse" (Jean-Rondin [[Houellebecq]]) car, si celui-ci se moque au début de la vision du narrateur ("''ce vulgaire pitre en bois''", p.432), il finit par se reconnaître dans celui-ci et à comprendre le ridicule des [[moeurs]] de son propre pays. Malgré leurs formes [[archaïques]] qui n'ont pas la lisibilité d'un [[Patrick Bruel|Patrick Buñuel]], elles démontrent que le [[relativisme culturel]] est une posture intenable, et que le [[racisme]] permet une forme d'humour que le relativiste est dans l'incapacité de saisir. Sur la question de la [[religion]], Montesquieu est beaucoup plus subtil que [[Nicolas Sarkozy]].


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[[Cat�gorie:Litt�rature]][[Cat�gorie:Langue Fran�aise]]
[[Catégorie:Littérature]][[Catégorie:Langue Française]]

Version du 20 février 2007 à 18:54

L'auteur

Montesquieu est un noir qui écrivit les lettres persanes au XVIIIème siècle. Compte tenu de la qualité de son oeuvre, il fut décidé à sa mort d'empailler son corps, afin d'être exhibé lors de l'Exposition universelle de 1888, qui rencontra de ce fait un franc succès. Par la suite on le plaça au Musée d'Histoire Naturelle à Paris, d'ou il ne fut remisé que récemment - sentant trop fort malgré les doses de Calvin-Klein dont il était régulièrement aspergé.

Origine du texte

On appelle ce texte "lettres persanes" car il fut entièrement rédigé par l'auteur sur des tapis persans, cocasserie qui fait, encore aujourd'hui, s'esclaffer bien des littéraires. Il eut un succès immédiat auprès des nobles français, et particulièrement de la Cour du Roi (ces gens-là s'ennuyant beaucoup, à l'époque).

Résumé et explication de texte

Le texte raconte les pérégrinations d'un alter ego de Montesquieu à travers l'Europe et plus particulièrement en France. A travers ce récit on peut voir un satyre qui exhibe son gros vit à la cour. Ainsi la mode d'écraser des insectes sur le visage de ses amis lors de soirées mondaines est raillée, de même que les modes vestimentaires de l'époque, qui consistaient à porter une chappe de fonte sous les aisselles. Montesquieu est cependant tiraillé par sa foi car il croit en Allah le très haut qui interdit tout contact avec la fonte.

Les lettres persanes sont donc des écrits épistolaires à vocation satirique. Elles décrivent la Cour du Roi de France et la société française à travers les yeux d'un naïf étranger. Il est d'usage de considérer que Montesquieu "piège son lecteur comme une belette tuberculeuse" (Jean-Rondin Houellebecq) car, si celui-ci se moque au début de la vision du narrateur ("ce vulgaire pitre en bois", p.432), il finit par se reconnaître dans celui-ci et à comprendre le ridicule des moeurs de son propre pays. Malgré leurs formes archaïques qui n'ont pas la lisibilité d'un Patrick Buñuel, elles démontrent que le relativisme culturel est une posture intenable, et que le racisme permet une forme d'humour que le relativiste est dans l'incapacité de saisir. Sur la question de la religion, Montesquieu est beaucoup plus subtil que Nicolas Sarkozy.

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