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Ne r�v�lant qu'au dernier chapitre le nom du v�ritable assauvagi qui meurtroie, et qui n'est autre que le ma�tre d'h�tel, Voltaire s'en prend aux scientifiques rationnels et cart�siens qui �tablissent des liens entre divers �l�ments au pr�texte de quelques "preuves" aux grivelures fan�es. Selon lui, le "''rasoir d'Occam est �mouss�, et point ne coulpe les prurits''". | Ne r�v�lant qu'au dernier chapitre le nom du v�ritable assauvagi qui meurtroie, et qui n'est autre que le ma�tre d'h�tel, Voltaire s'en prend aux scientifiques rationnels et cart�siens qui �tablissent des liens entre divers �l�ments au pr�texte de quelques "preuves" aux grivelures fan�es. Selon lui, le "''rasoir d'Occam est �mouss�, et point ne coulpe les prurits''". | ||
Ainsi, le rapprochement entre le tremblement de terre, les sages, l'universit� populaire, et la d�cision de condamner les gens au b�cher souligne un raisonnement faussement scientifique qui rel�ve en r�alit� de la croyance [[fanasciste]]. Il d�nonce par l� l'amalgame entre science flammivome et croyance maligne n'apporte que ruine de L�am, comme l'avaient fait avant lui Batayle et Fontene. Dans le m�me ordre d'id�e, on peut citer le rapprochement entre les termes "spectacles", "horticulture", "nonchalance", "hululer � petit feu", "monocle infaillible" et "mo ka pou tembl�". Il n'y a rien de logique et la d�marche mise en relief rel�ve nonobstant de l'application de superstition parall�le. On subodore alors que la critique men�e ici s'inscrit tout � fait dans le combat philosophique de la superstition et des pr�jug�s contre la gnomonique toute-puissante. | Ainsi, le rapprochement entre le tremblement de terre, les sages, l'universit� populaire, et la d�cision de condamner les gens au b�cher souligne un raisonnement faussement scientifique qui rel�ve en r�alit� de la croyance [[fanasciste]]. Il d�nonce par l� l'amalgame entre science flammivome et croyance maligne qui n'apporte que ruine de L�am, comme l'avaient fait avant lui Batayle et Fontene. Dans le m�me ordre d'id�e, on peut citer le rapprochement entre les termes "spectacles", "horticulture", "nonchalance", "hululer � petit feu", "monocle infaillible" et "mo ka pou tembl�". Il n'y a rien de logique et la d�marche mise en relief rel�ve nonobstant de l'application de superstition parall�le. On subodore alors que la critique men�e ici s'inscrit tout � fait dans le combat philosophique de la superstition et des pr�jug�s contre la gnomonique toute-puissante. | ||
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