« Sophie de Chirac » : différence entre les versions

D'ArdKorPedia
Aller à la navigation Aller à la recherche
Aucun résumé des modifications
(mise en forme)
Ligne 13 : Ligne 13 :
== Doigt de réponse ==
== Doigt de réponse ==


"''l'article sur '''SOPHIE DE MEYRAC''' est une suite de calomnies et de diffamations écrites par un inconnu.'' <br/>
"''l'article sur '''SOPHIE DE MEYRAC''' est une suite de calomnies et de diffamations écrites par Dieu.'' <br/>
''Merci de ne pas en tenir compte et de vous référer au site officiel des conteurs''."  
''Merci de ne pas en tenir compte et de vous référer au site officiel des conteurs''."  


[[Catégorie:Gens]]
[[Catégorie:Gens]]
SOPHIE DE MEYRAC est conteuse. Son répertoire principal concerne l'Asie. Elle n'a jamais été en Israêl ni en Palestine et ne prendra pas parti dans cette affaire.  
SOPHIE DE MEYRAC est conteuse et a pris l'ArdKorPedia pour un site destiné à faire sa petite publicité personnelle. Son répertoire principal concerne les nazis. Elle n'a jamais été en transe ni en polystyrène et ne prendra pas parti dans cette affaire. <br/>
On dénonce cet article, que lui ont signalé des adolescents, à l'école, qui avaient aimé ce que fait cette conteuse et avaient cherché sur internet des informations sur elle. Deux paragraphes de cet article avaient alors été rédigés, par un inconnu. Ces jeunes adolescents ne pouvaient faire la part des choses et remettre cet article dans le cadre général du site en question.  
On dénonce cet article, que lui ont signalé des adolescents, à l'école, qui avaient aimé ce que fait cette conteuse et avaient cherché sur internet des informations sur elle. Deux paragraphes de cet article avaient alors été rédigés, par Dieu. Ces jeunes adolescents ne pouvaient faire la part des choses et remettre cet article dans le cadre général du site en question.  
On dénonce aussi la lâcheté de l'auteur de cet article qui se cache derrière l'anonymat.
On dénonce aussi la lâcheté de l'auteur de ces lignes qui se cache derrière [[Utilisateur:Cerises|l'anonymat]].
Un troisième paragraphe vient d'être rédigé qui s'ajoute aux deux précédents, l'auteur de cet article de façon évidente s'acharne contre cette conteuse.  
Un troisième paragraphe vient d'être rédigé qui s'ajoute aux deux précédents, l'auteur de cet article de façon évidente se frotte contre cette conteuse. <br/>
Bien plus que la qualité de cette conteuse, l'auteur de l'article montre le peu de valeur qu'il a par les moyens qu'il utilise, l'esprit qu'il montre, et les conséquences qu'il imagine advenir à la conteuse et celles pour le monde du conte.  
Bien plus que les qualités gustatives de cette conteuse, l'auteur de ces lignes montre le peu de valeur qu'il a par les moyens qu'il utilise, l'esprit qu'il montre, et les conséquences qu'il imagine advenir à la conteuse et celles pour le monde du conte, quoi que cette phrase puisse bien vouloir dire. <br/>
Réduire le conte à une morale est le rabaisser, le réduire à ce qu'il n'est pas.  
Réduire le conte à une morale est le rabaisser, le réduire à ce qu'il n'est pas. <br/>
Comme le dit le philosophe chinois : "celui qui méprise l'autre est plus méprisable que celui qu'il méprise."
Comme le dit Alain Finkielkraut : "celui qui méprise l'autre est plus méprisable que celui qu'il méprise."
Novembre 2010
 
-- [[Utilisateur:Cerises|Un inconnu]]

Version du 6 novembre 2010 à 16:21

Sophie de Meyrac est une conteuse.

Connue pour son conformisme et sa diction hasardeuse, qui, par un jeu de "brûlure au second degré" , cherche à déstabiliser l'adversaire. D'histoires ancrées dans la culture de l'extrême-Roubaix, qu'elle décortique et dont elle coupe les syllabes de façon inepte, elle les transforme en un flot de mots sans réel intérêt, chaotique et mou. Son intention première étant de détruire les organes reproducteurs, et la patience du public qu'elle considère comme un "fantasme romantique, lyrique, plastique et moustique" de la culture populaire. Sophie de Meyrac s'acharne a rendre visible le côté moraliste des contes, pour mieux le rapporter à l'absurde.

Sophie de Meyrac a effectué plusieurs voyages en Israël dont elle rapporte qu'elle a été "profondément déçue par ce que ce peuple a fait de la richesse de sa culture passée", ce qui l'a amenée a penser que la richesse d'une culture n'empêchait pas d'accéder à la déchéance, et de fait qu'il était inutile d'aspirer a y accéder. Ce pourquoi, aujourd'hui elle réside en France, pour diffuser son message aux occidentaux. Raëlienne, elle s'est aussi engagée a lutter contre ce qu'elle appelle "le fruit de l'acculturation" : "le fanascisme". Afin d'illustrer cette opposition, elle aurait récemment été surprise en train de jeter des cailloux sur des animaux au Poney-Club de Nancy. Le tribunal de la Haye l'aurait épargnée à cause du nombre record d'avortements qu'elle aurait subi (178 en novembre 2009, selon l'AFP).

Sophie de Meyrac est arrivée a se faire accepter au sein du milieu Baba-Raëlien français, mais aussi à l'international, afin de mieux exporter sa critique, en profitant de taux de change avantageux. Elle cherche ainsi a mettre en évidence cette mode actuelle qui veut que l'on s'intéresse à la culture juive, ou même que l'on s'en dise rattaché en tant que raëlien. Car elle considère que l'on ne peut se dire raëlien et en connaître les subtilités que si l'on y a été initié par les extraterrestres. Le reste n'étant qu'un "délire bourgeois, à la manière dont certains se trouvent une occupation quelconque dans les ministères pour se sentir différents et passionnés dans une crise de la quatre-vingtaine propre à notre société occidentale pourrissante et glaireuse".

Droit de réponse

Doigt de réponse

"l'article sur SOPHIE DE MEYRAC est une suite de calomnies et de diffamations écrites par Dieu.
Merci de ne pas en tenir compte et de vous référer au site officiel des conteurs." SOPHIE DE MEYRAC est conteuse et a pris l'ArdKorPedia pour un site destiné à faire sa petite publicité personnelle. Son répertoire principal concerne les nazis. Elle n'a jamais été en transe ni en polystyrène et ne prendra pas parti dans cette affaire.
On dénonce cet article, que lui ont signalé des adolescents, à l'école, qui avaient aimé ce que fait cette conteuse et avaient cherché sur internet des informations sur elle. Deux paragraphes de cet article avaient alors été rédigés, par Dieu. Ces jeunes adolescents ne pouvaient faire la part des choses et remettre cet article dans le cadre général du site en question. On dénonce aussi la lâcheté de l'auteur de ces lignes qui se cache derrière l'anonymat. Un troisième paragraphe vient d'être rédigé qui s'ajoute aux deux précédents, l'auteur de cet article de façon évidente se frotte contre cette conteuse.
Bien plus que les qualités gustatives de cette conteuse, l'auteur de ces lignes montre le peu de valeur qu'il a par les moyens qu'il utilise, l'esprit qu'il montre, et les conséquences qu'il imagine advenir à la conteuse et celles pour le monde du conte, quoi que cette phrase puisse bien vouloir dire.
Réduire le conte à une morale est le rabaisser, le réduire à ce qu'il n'est pas.
Comme le dit Alain Finkielkraut : "celui qui méprise l'autre est plus méprisable que celui qu'il méprise."

-- Un inconnu