Koreback

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Ville portuaire d'une importance stratégique majeure, Koreback fut le théâtre de violents affrontements unilatéraux, n'opposant les troupes de la FPPCF à presque personne.

Un assaut millimétré

Lors de la prise de Koreback, les forces armées de la Fédération des Pays Producteurs de Chou-Fleur ont agi avec un sens de l'organisation rasant de près la perfection.

  • 8:00 am Début de la première vague d'assaut. Les 2000 fantassins envoyés en première ligne, ballonnés par un déjeuner trop copieux aux macarons-coco périmés, sont mis en déroute par un paysan armé d'une fourche. Ils se replient sur les hauteurs.
  • 8:15 am Passage en comparution martiale express des fuyards, qui sont jugés pour haute trahison envers la couronne de la galette des rois et exécutés dans la demi-heure qui suit. Préparation de la deuxième vague d'assaut.
  • 8:36 am Après qu'aient été retirés les macarons des rations de survie, la seconde offensive est lancée. L'unité lance-flammes tape un sprint toute flammes dehors. Les pertes sont lourdes pour l'envahisseur, mais les défenses de la ville finissent par céder.
  • 8:57 am Pause clope.
  • 9:23 am Les forces d'invasion pénètrent dans la ville de Koreback.
  • 9:24 am La moitié du contingent armé chouflorique se perd dans les quartiers chauds de la ville. Une enquête interne révélera plus tard que ces soldats étaient allés se "regonfler le moral et [se] dégonfler les couilles" dans les corps frais de jeunes putes de 14 ans. Une initiative saluée par le Syndicat de la Soldature, qui y vit une "mission bénévole et spontanée d'éducation sexuelle, preuve s'il en fallait du rôle positif que peuvent jouer nos troupes en pays pauvre et anti-démocratique".
  • 11:56 am Curieusement, et bien qu'elles n'aient rencontré aucune forme de résistance, les troupes piétinent et demeurent bloquées dans les quartiers lubriques de la ville. Le général Bowl affirmera pour sa défense qu'une tâche de cyprine sur sa carte l'avait rendue illisible.
  • 12:40 am Changement de méthode : l'infanterie rase les bâtiments un à un afin de dégager un sentier de la taille d'une quatre-voies jusqu'à l'Hôtel de Ville. Les victimes collatérales vivantes ont la possibilités de se confier auprès d'une cellule de crise ; malheureusement, aucun accès poussette n'est prévu pour y accéder, et les quatre survivants n'auront plus comme seul recours que de ronger leurs tétines en attendant la fin de l'assaut.
  • 01:53 pm Arrivée des troupes du général Bowl devant l'Hôtel de Ville.
  • 01:53 pm Reddition des deux dirigeants de Koreback au terme d'une résistance héroïque de plus de douze secondes.

Une occupation douloureuse

Les troupes d'invasion se heurtent à une certaine mauvaise foi de la part de la population survivante, qui réclame expressemment d'être allaité au moins deux fois par jour. Les soldats choufluriens répondent à cette irrévérence par le larguage d'une douzaine de stocks cheeseburgers en poudre et le retrait des troupes.


Une liberté au parfum d'endive

Libérés du joug de l'oppresseur chouflorique, les survivants s'organisent et créent le Comité de Lutte contre l'Impérialisme Chouflorique et cultivent des endives. Il s'agit encore aujourd'hui de la première ressource de la province de Koreback.