« Red Bull » : différence entre les versions
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Red Bull (1788-1788) | Red Bull ([[1788]]-[[1788]]) était un grand chef [[indien]], dont le nom signifie ''Grande follasse'' en [[Lituanie]]n. Aucun chercheur n'a encore fourni d'explication valable au fait qu'un grand chef [[indien]] porte un nom [[Lituanie]]n, mais les types des [[chiffres et les lettres]] sont sur le coup. | ||
Lors de la | Lors de la Conquête de l'Ouest d'Eden, les premiers colons apprirent bien vite à traire le Red Bull pour en tirer tout son suc. Ils en emplirent d'innombrables tonneaux, car Red Bull était effectivement ''très'' grande. | ||
Quelques | Quelques années plus tard, [[Bill Gates]] songea à commercialiser le suc du défunt chef, pour rendre les petits enfants accros à la kro et la kriek mais aussi au jus d'indien. La manoeuvre, quoique vilement fourbe et sournoisement mesquine, réussit. | ||
Hélas, cent fois hélas, les stocks de Red Bull étant une ressource non-renouvelable, la pénurie guette (et par là même, les inévitables [[émeute]]s et viols collectifs). On estime que les réserves mondiales de Red Bull seront épuisées en [[2009]]. | |||
Pour pallier | Pour pallier à la crise, le gouvernement [[Lituanie]]n -jamais à court d'idées à défaut de hamburgers- a proposé de remplacer la Red Bull par de l'huile de Colza ou encore du [[foutre]]. [[L'ambassadeur]] de [[Lituanie]] s'est alors fait cordialement lapider et en même temps c'est bien fait pour sa gueule. |
Version actuelle datée du 28 septembre 2007 à 07:09
Red Bull (1788-1788) était un grand chef indien, dont le nom signifie Grande follasse en Lituanien. Aucun chercheur n'a encore fourni d'explication valable au fait qu'un grand chef indien porte un nom Lituanien, mais les types des chiffres et les lettres sont sur le coup.
Lors de la Conquête de l'Ouest d'Eden, les premiers colons apprirent bien vite à traire le Red Bull pour en tirer tout son suc. Ils en emplirent d'innombrables tonneaux, car Red Bull était effectivement très grande.
Quelques années plus tard, Bill Gates songea à commercialiser le suc du défunt chef, pour rendre les petits enfants accros à la kro et la kriek mais aussi au jus d'indien. La manoeuvre, quoique vilement fourbe et sournoisement mesquine, réussit.
Hélas, cent fois hélas, les stocks de Red Bull étant une ressource non-renouvelable, la pénurie guette (et par là même, les inévitables émeutes et viols collectifs). On estime que les réserves mondiales de Red Bull seront épuisées en 2009.
Pour pallier à la crise, le gouvernement Lituanien -jamais à court d'idées à défaut de hamburgers- a proposé de remplacer la Red Bull par de l'huile de Colza ou encore du foutre. L'ambassadeur de Lituanie s'est alors fait cordialement lapider et en même temps c'est bien fait pour sa gueule.